TROPHEE ANDROS LANS EN VERCORS ETAPE 4/5

TROPHEE ANDROS LANS EN VERCORS ETAPE 4/5

Avant dernier meeting avant l’étape finale à Super Besse, l’épreuve de Lans-en-Vercors va être décisive pour les pilotes  en quête du titre. Après 7 courses déjà disputées, ils sont 4 pilotes à encore prétendre au titre Elite pro : le local de l’étape Aurélien Panis, JB Dubourg, Yann Ehrlacher et Dorian Boccolacci. Sur les 10 courses disputées au total, chaque pilote a le droit à

une course joker, et pourra alors décompter le moins bon résultat de la saison… Tout est encore possible. En catégorie Elite, Louis Gervoson prend de la distance sur ses adversaires. Derrière

lui, ils sont 5 pilotes dans un mouchoir de poche avec seulement 10 points d’intervalle : Sylvain Pussier, Gérald Fontanel, Anthony Pelfrene, Edgar Maloigne et Margot Laffite. Rien n’est encore joué !

Course 1 – 19 janvier 2024

CATEGORIE ELITE PRO, Yann Ehrlacher (#68 ) avec panache.
Yann Ehrlacher (#68 – Invivo – M Racing) n’a laissé aucune chance à ses adversaires lors des manches qualificatives. La concurrence était pourtant bien présente avec Nathanael Berthon ((#63 – Peugeot e208 – SP Compétition), JB Dubourg (#3 – Renault Zoé – DA Racing) et Dorian Boccolacci (#98 – AS01 – Sébastien Loeb Racing) avec des écarts de quelques dixièmes seulement.

À l’issue de la super pôle, Yann conserve sa première place et s’adjuge la pole pour la finale.
Départ musclé lors de la finale du jour, mais Yann résiste aux attaques de Nathanael Berthon et remporte la course avec en prime le record du tour. A l’issue des manches qualificatives et de la finale, c’est donc Yann Ehrlacher qui remporte sa première course de la saison et récupère la deuxième place au général. Nathanael Berthon et Dorian Boccolacci montent sur les 2ème et 3ème marches du podium.

CATEGORIE ELITE, Louis Gervoson fait la différence.

Sur le circuit de Lans en Vercors, les pilotes de la catégorie Elite nous prouvent que, encore une fois, le niveau est plus que relevé. Pour cette première course sur ce circuit, les manches qualificatives reviennent au premier du classement général. Louis Gervoson (#38 -Isère Audi A1 – Saintéloc) remporte les manches qualificatives avec un temps stratosphérique et s’empare

ainsi de la pole position pour la finale, devant un Sylvain Pussier (#63 – Peugeot e208 – SP Compétition) et une Margot Laffite (#9 – Mersen AS01 – Sébastien Loeb Racing) particulièrement à l’aise sur ce tracé. En finale, Louis prend le large et passe le premier le drapeau à damiers, suivi de Sylvain Pussier et Margot Laffite. À l’issue de cette journée, c’est Louis Gervoson qui monte sur la première marche du podium pour la 3ème fois cette saison, suivi de Sylvain Pussier qui conforte sa 2ème place au général, et Margot Laffite.

Course 2- 20 janvier 2024

CATEGORIE ELITE PRO, JB Dubourg (#3) toujours dans le coup pour Super Besse.

La deuxième course sur ce circuit de Lans en Vercors a commencé en force avec une bataille incroyable lors des manches qualificatives : la première est pour Nathanael Berthon (#63 – Peugeot e208 – SP Compétition) et la seconde revient à JB Dubourg (#3 – Renault Zoé – DA Racing). Dorian Boccolacci (#98 -AS01 – Sébastien Loeb Racing), constant sur ce tracé très spécifique entre les arbres, est 3ème des 2 manches. Les 6 points de la Super Pole sont attribués à JB Dubourg après un tour chrono fantastique. Le cumul des points à l’issue des

manches qualificatives et de la Super Pole est favorable à JB Dubourg, qui s’élance en pole de la finale. Dès l’extinction des feux de départ, JB Dubourg ferme la porte à Nathanaël Berthon. Derrière, la bagarre fait rage entre Aurélien Panis et Dorian Boccolacci, qui enchaînent les dépassements et passent 6 tours roue dans roue.

À

la fin de cette dernière journée à Lans en Vercors, JB Dubourg remporte la victoire, la 3ème cette saison, et remonte ainsi à la 2ème place du général. Il est accompagné sur le podium par Aurélien Panis à la 2ème place et Nathanaël Berthon à la 3ème place.

CATEGORIE ELITE, Carton plein pour Louis Gervoson  empoche la victoire  Elite du e-Trophée Andros 2024.

Confiant sur ce circuit de Lans-en-Vercors depuis sa victoire de la veille, Louis Gervoson (#38 – Isère Audi A1 – Saintéloc) remporte les manches qualificatives face à une Cindy Gudet (#68 – Invivo – M Racing) déchaînée, qui réalise une performance exceptionnelle sur la première manche qualificative en décrochant le meilleur temps. Anthony Pelfrene (#87 – Renault Zoé – DA Racing) effectue une magnifique deuxième manche qui lui permet de se placer à la 3ème place à l’issue des deux manches qualificatives.

Départ fabuleux pour Louis Gervoson en finale, mais un accrochage entre Emmanuel Moinel (#4 – Renault Zoé – DA Racing) et Anthony Pelfrene entraîne un drapeau rouge.
Après le deuxième départ avec un ordre de grille inchangé, Louis Gervoson prend le large, suivi par Cindy Gudet qui réalise une course magistrale et résiste aux attaques d’Anthony Pelfrene.
À l’issue de cette journée, Louis Gervoson remporte la victoire, la 4ème cette saison et réalise le doublé ce weekend. Cindy Gudet monte pour la première fois sur le podium cette saison avec une 2ème place. Anthony Pelfrene complète ce podium.

Louis Gervoson, grâce à cette nouvelle victoire, assure sa première place au classement général et est donc titré vainqueur Elite du e-Trophée Andros 2024 sur l’étape de Lans en Vercors.

PHOTOS MICHEL MORILLON.

Nos conseils pour une conduite sûre en plein hiver 

Nos conseils pour une conduite sûre en plein hiver 

Avec les températures qui chutent et la neige qui pointe le bout de son nez,  Notre partenaire, Bridgestone, livre ses conseils pour une conduite sûre par temps hivernal ! Afin de favoriser la sécurité des automobilistes et des habitants, la Loi Montagne a imposé certains équipements pour les véhicules en direction des pistes. En complément de cette mesure, il est important de faire un état des lieux de son véhicule avant chaque départ.

Avant toute chose, une vérification des pneumatiques s’impose !

Malgré l’équipement de pneus hiver ou toutes saisons 3PMSF, les voyageurs doivent vérifier l’état de leurs pneus avant de prendre la route. Une profondeur de sculpture est garante d’une bonne motricité. Sur les pneus hiver, des témoins neige reconnaissables par un flocon sur les flancs, indiquent la hauteur de la gomme. Atteindre ces témoins signifie qu’il reste 4 mm de gomme, indiquant que le pneu n’est plus suffisamment performant en cas de neige. En complément, avoir un jeu de chaînes à neige est recommandé pour les véhicules à deux roues motrices en cas de fortes chutes de neige sur la route d’accès à la station, surtout si le chasse-neige n’est pas encore passé. 

Le kit spécial montagne : un allié de taille pour les voyageurs

Il est fortement conseillé de prévoir des essentiels en cas de blocage prolongé sur la route, tels que de l’eau, des biscuits secs et une couverture. En raison de la réverbération du soleil sur la neige, les conducteurs sont invités à porter des lunettes de soleil. Pour déneiger le véhicule, des gants imperméables, des chaussures appropriées, une grosse raclette et une mini-pelle doivent être inclus dans la valise. Il est également important d’avoir suffisamment de carburant avant de monter en station, et pour les véhicules électriques, de prendre en compte une autonomie réduite en montagne.

Avoir une conduite adaptée sur les routes de montagne

Point numéro 1 : l’adaptation de l’accélération et de la vitesse. Il est essentiel d’ajuster sa vitesse aux conditions météorologiques et routières pour mieux anticiper sur la route. Les conducteurs sont invités à accélérer en douceur sans faire patiner les roues. Le freinage et le respect des distances sont également cruciaux. Dans certaines conditions, il est plus judicieux de lâcher l’accélérateur et de laisser le véhicule ralentir de lui-même plutôt que d’appuyer sur la pédale des freins. Freiner en ligne droite avant un virage est recommandé, et le freinage doit être progressif. Maintenir une distance de sécurité adéquate avec le véhicule qui précède est particulièrement important en descente.

À ajouter :

  • en hiver, la visibilité est réduite, les conducteurs doivent donc veiller à la propreté des vitres de leur véhicule, disposer d’une quantité suffisante de liquide lave-glace pour contrer le sel déposé sur les routes, et allumer les phares pour signaler leur présence aux autres usagers.
  • En cas de fortes chutes de neige et de route bloquée, il est essentiel de se garer sur le côté avec les feux de détresse activés pour permettre l’intervention des véhicules de déneigement.
  • Enfin, il est strictement interdit de doubler un chasse-neige.
HONDA ZR-V e:HEV, UN SUV HOMOGENE.

HONDA ZR-V e:HEV, UN SUV HOMOGENE.

Mon deuxième essai concerne l’autre nouveau modèle de Honda, le ZR-V e/HEV. S’intercalant entre le HR-V et le nouveau CR-V, le ZR-V est le dernier SUV de Honda équipé de série de la motorisation hybride e:HEV. Le ZR-V est proposé en finition Sport et finition Advance, le modèle plus haut de gamme.

Le design du ZR-V, comme je l’évoquais dans le début de cet article est plutôt fluide, par l’alliance de surfaces lisses et ininterrompues s’étendant de l’avant jusqu’à l’arrière. La politique du tout angulaire disparaît chez Honda, pour proposer des lignes plus harmonieuses plus épurées, perceptible dès l’avant du modèle dans les phares fins, une calandre stylisée en noir brillant, avec des barres verticales imposantes sur le modèle  Advance, tandis que le modèle Sport est doté d’une finition exclusive à motif nid d’abeille. les feux arrière s’intègrent harmonieusement au hayon. Avec une hauteur de 1 620 mm à vide, une largeur de 1 840 mm, une longueur de 4 568 mm et un empattement de 2 657 mm, le ZR-V s’insère dans la gamme existante de SUV Honda. D’une

largeur 50 mm supérieure au HR-V, avec une garde au sol 59 mm plus basse que celle du CR-V.

Le ZR-V est équipé de série de jantes en alliage 18 pouces, avec une finition Matt Berlina Black pour le modèle Sport, tandis que les modèles Advance proposent une finition effet diamant et Berlina Black pour une allure plus haut de gamme. Lors du lancement, les clients auront le choix entre cinq coloris extérieurs : Diamant Brillant, Mûre noire, Rouge Radiant, Blanc Platine et Bleu Abyssal. Le ZR-V offre 370 litres de chargement avec tous les passagers, soit 20 % de plus que le HR-V, et 921 litres supplémentaires (pour un total de 1 291 L) en repliant les sièges arrière;

A l’intérieur, le premier contact est chaleureux, les matières sont de bonnes qualités et l’assemblage sans reproche. Un grand écran tactile de neuf pouces a été placé au centre de la partie supérieure du tableau de bord, qui s’étend sur toute la largeur de l’avant de l’habitacle. L’ergonomie est bien étudiée même si la tablette aurait pu être mieux intégrée à la planche de bord. La console centrale en deux parties est unique au ZR-V, elle incorpore le sélecteur de vitesse et le bouton du frein à main. Le sélecteur de vitesse Shift-by-Wire a été réactualisé. A mon goût et après usage il manque de facilité. A chaque démarrage, on a tendance à mettre la marche arrière par réflexe, le bouton drive étant isolé. Le ZR-V est très bien équipé de série, volant chauffant, sièges chauffants ou ventilés, hayon automatique. Le tableau de bord TFT numérique haute définition de 7 pouces situé derrière le volant, offre toutes les informations essentielles notamment le niveau de charge de la batterie et le passage en mode 100% électrique par un petit visuel vert EV. Le système d’infodivertissement est compatible Apple CarPlay ou d’Android Auto. Le ZR-V dispose des dernières fonctions  d’aide à la conduite disponibles sur le marché.

Coté motorisation, le ZR-V embarque une version réactualisée du système à deux moteurs électriques. La motorisation, déjà présente à bord de la Civic e:HEV, fournit désormais une puissance totale de 135 kW avec un couple de 315 Nm et abat le 0 à 100 km/h en 7,8 secondes seulement. Le ZR-V offre des niveaux d’efficacité réels pour un usage au quotidien : la motorisation e:HEV remaniée génère des émissions de CO2 à partir de 130 g/ km (WLTP) avec une consommation de carburant de 5,7 l/100 km (données constructeurs) en cycle combiné WLTP. La motorisation hybride intégrale conjugue une batterie lithium-ion dense en énergie et deux moteurs électriques compacts et puissants avec un nouveau moteur à injection directe et cycle Atkinson de 2.0 litres, et passe automatiquement entre les modes électrique, hybride et thermique sans intervention du conducteur.

J’ai eu la chance d’essayer le Honda ZR-V au quotient pendant une quinzaine de jours en usage urbain, routier et autoroutier. Premier constat, le ZR-V est confortable avec des suspensions multibras, des amortisseurs travaillés pour  tous types de terrain et une monte pneumatique judicieuse (225/55 HR 18) qui limite les trépidations et un éventuel roulis fréquent sur les  SUV. En revanche le ZR-V bien qu’équipé d’une motorisation particulièrement silencieuse, procure quelque bruit de roulement notamment sur autoroute. Le ZR-V est proposé exclusivement en  hybride.  Il est équipé de la chaîne de traction sans boîte de vitesses eCVT, cher à Honda. Ainsi, son 4-cylindres de 143 ch entraîne la plupart du temps un générateur produisant l’électricité pour alimenter le bloc électrique de traction. Lequel se charge de mouvoir les roues avant grâce à ses 184 ch et 315 Nm de couple disponibles instantanément. Le système hybride du ZR-V est efficace. Grâce à une petite batterie lithium-ion de 1,05 kWh, qui se recharge lors des décélérations ou via le générateur en cas de besoin. On se surprend à rouler en 100% sur des terrains très différents, en ville bien sûr mais également sur route ou sur autoroute en ayant stabilisé le véhicule à vitesse constante. On réapprend la conduire en douceur et donc à consommer moins. Sur la totalité de mon essai, la consommation du ZRV a varié entre 6,6 l/100 et 7 l/100. L’agrément de conduite est réel et si on souhaite plus de puissance  pour dépasser ou en côte, la transmission eCVT reproduit les variations de régime de passages de rapports imaginaires, permettant ainsi d’éviter la sensation de surrégime.

Les tarifs du ZR-V e:HEV démarrent à 47500€ pour la  version Sport que nous avons essayée, à 48950€ pour la version Advance ( hors bonus ou remise).

Le nouveau Honda ZR-V e:HEV m’a séduit par son homogénéité, son confort en toutes circonstances, son équipement très complet de série et un système hybride performant et vraiment efficace pour une baisse réelle de consommation.

PHOTOS MICHEL MORILLON

HONDA e:Ny1: LE TOUT ELECTRIQUE CHEZ HONDA.

HONDA e:Ny1: LE TOUT ELECTRIQUE CHEZ HONDA.

Pour rester compétitif sur le marche automobile Européen, Honda a étoffé sa gamme avec de nouveaux modèles qui se conforment aux nouveaux modes de déplacement. Avec pas moins de trois nouveaux SUV proposés cette année, le constructeur veut passer de 5 500 ventes annuelles en France à 10 000 en 2024. Après le lancement de la nouvelle Civic et du nouveau HR-V, le constructeur lande deux modèles entièrement  nouveaux. le e:Ny1 entièrement électrique et la ZR-V situé entre un HR-V et un CR-V. Au delà de ces deux nouveautés, Honda a complètement renouvelé le CR-V plus moderne et adapté aux énergies actuelles.

Sur l’aspect design, Honda oublie les formes anguleuses et les arêtes vives pour un design plus fluide en tout gardant des lignes tendues très réussies. J’ai pu essayer ces différents véhicules dans des conditions assez différentes. Nous avons pu faire quelques tours de roues dans le sud de la France pour tester les qualités routières du e:Ny1. Le nouveau Honda e:Ny1, le deuxième véhicule 100 % électrique de la marque en Europe, combine une approche de conception innovante avec une qualité intérieure irréprochables et des technologies avancées. L’e:Ny1 repose sur la nouvelle plateforme haute performance e:N Architecture F à moteur

avant, qui sera reprise dans les véhicules électriques de segment B partout dans le monde. Son esthétique est agréable, avec un porte-à-faux avant court, des passages de roue évasés et des voies larges. Les feux clignotants, les feux stop et les feux de recul arrière forment un seul bloc de chaque côté, de part et d’autre d’une

barre lumineuse sur toute la largeur de la voiture qui accentue la fluidité et le dynamisme de la ligne. En complément, le nom « Honda » sur le hayon bénéficie d’une nouvelle police de caractère, dans un style haut de gamme qui sera repris sur les véhicules électriques futurs de la marque.

À l’intérieur de l’e:Ny1, l’habitacle offre une ambiance détendue grâce à des éclairages tamisés. La nouvelle console centrale propose les sélecteurs de vitesse Drive, Park et Neutral. Ceux-ci sont parfaitement intégrés au bouton de frein à main électronique, et placés à portée de main du conducteur, à l’instar de la plaque de charge sans fil.  Un grand écran tactile central de 15,1 pouces domine le tableau de bord et offre un accès aux menus du système d’infodivertissement via une nouvelle interface par zones, conçue exclusivement pour ce modèle. L’ensemble est qualitatif et parfaitement ergonomique. Sur les modèles Advance, le toit panoramique est en verre Low-e, un matériau sophistiqué recouvert d’une pellicule microscopique qui améliore l’efficacité

thermique et réduit le rayonnement infra-rouge et ultraviolet. Avec les sièges arrière relevés, l’e:Ny1 dispose d’une capacité de chargement maximale de 344 litres, qui passe à 784 litres jusqu’à la ligne des vitres lorsque les sièges arrière sont rabattus.

La motorisation et le châssis du Honda e:Ny1 sont de conception nouvelle et pour  offrir une expérience de conduite agréable et sécurisée.  Pour son installation sur la plateforme F, le  moteur trois-en-un, qui abrite le bloc d’entraînement, le moteur électrique et la transmission, a un poids combiné de 77,4 kg seulement (avec l’huile) sur l’essieu avant. Le moteur développe 150 kW et un couple pouvant atteindre 310 Nm, ce qui permet à la voiture de pouvoir atteindre une vitesse maximale de 160 km/h. La batterie au lithium-ion de 68,8 kWh, sous le plancher de l’e:Ny1, offre une autonomie pouvant atteindre 412 km (WLTP), avec une capacité de recharge rapide de 10 % à 80 % en 45 minutes environ au moyen d’un chargeur rapide CC et d’un connecteur CCS. En utilisant un chargeur CA domestique standard, une recharge de 10 % à 80 % peut être effectuée en six heures.

Nous avons pris le volant du e:Ny1 sur un parcours nécessitant des relances fréquentes et de gros freinages. Les réactions du Honda e:Ny1 sont homogènes, les accélérations vives mais suffisamment dosées pour accélérer et décélérer de manière fluide, sans pour autant diminuer l’attrait des accélérations puissantes et dynamiques qui caractérisent les véhicules électriques.  La batterie haute densité est en  position centrale sous le plancher de l’e:Ny1. Cette configuration favorise un centre de gravité bas et se traduit par une tenue de route sans reproche même sur des secteurs en très mauvais état où les suspensions et le réglage du châssis jouent leur rôle de stabilisateur. La direction est précise, souple  à basse vitesse, et plus ferme dés que la vitesse augmente. Le freinage est puissant et endurant. Un sélecteur central propose 3 modes de conduite :  Sport, Normal et Econ. Le mode Econ réduit la réponse de l’accélérateur et accorde la priorité à la conservation de l’énergie en ajustant la climatisation, les sièges chauffants et le volant chauffant. En contraste, le mode Sport offre une conduite plus sportive  avec des accélérations franches et vives. Pour le  mode Normal c’est  l’équilibre optimal entre performances et confort intégral dans l’habitacle. Honda SENSING figure parmi les suites les plus complètes de technologies de sécurité dans sa catégorie. Elle exploite une combinaison de données fournies par les différents radars, caméras et capteurs pour alerter et aider le conducteur dans des situations potentiellement dangereuses.

Honda e:Ny1 rentre sur le marché du tout électrique avec un modèle abouti qui devra trouver  sa place sur un marché en plein développement technique et des  politiques tarifaires évolutives.

MICHEL MORILLON

RETROMOBILE 2024  BY ARTCURIAL MOTORCARS :

RETROMOBILE 2024 BY ARTCURIAL MOTORCARS :

Paris, le 6 décembre 2023 – Artcurial Motorcars poursuit sa collaboration avec le Salon Rétromobile et annonce une série de ventes aux enchères évènement les 2 et 3 février prochains. Cette année, Artcurial Motorcars célèbre l’Histoire de l’Automobile à travers une sélection de modèles emblématiques et rares.

Parmi les modèles de grand tourisme :
• Une Ferrari 275 GTB (2 200 000€ – 2 700 000€) : Méticuleusement restaurée et dotée de sa certification Ferrari Classiche, cette oeuvre d’art a participé aux Rallye des Roses et Rallye du Var en 1966.• Une Ferrari 250 GT Cabriolet Pininfarina série 2 (1 600 000€ – 2 700 000€), restaurée par les meilleurs

artisans italiens, également certifiée par Ferrari.
• Une Mercedes-Benz 300 SL Gullwing de 1955 en état concours (1 200 000€ – 1 500 000€), Modèle particulièrement recherché avec ses roues Rudge d’origine. Reconnue comme étant un des jalons et un des mythes de l’Histoire de l’Automobile, elle est équipée d’un moteur six cylindres en ligne de 3,0 litres développant environ 215 chevaux.
• Les GT des années 80 seront également bien représentées avec une collection de BMW, provenant d’un concessionnaire de la marque. Parmi elles, une BMW M1 (500 000 – 600 000€) de 1979, livrée neuve en France, première main et n’affichant que 90 000 km d’origine, fera vibrer les collectionneurs.

Parmi les modèles de compétition :
Événement marquant de cette vente, la présentation d’une Alfa Romeo Tipo 33 TT12 de 1975, d’une rareté exceptionnelle, représentant l’ultime évolution de l’Alfa 33, ayant remporté le Championnat du Monde en 1975. Il s’agit d’un exemplaire comptant deux victoires en Interseries, avec les pilotes D. Bell et J. Mass, ajoutant une dimension historique unique à cette pièce de collection. Son historique est suivi de près, avec des travaux de carrosserie récents qui soulignent l’engagement envers la préservation de son authenticité. Le moteur de cette Alfa Romeo est tout simplement fabuleux, émettant une sonorité fantastique qui transporte les passionnés à l’âge d’or des prototypes.

Parmi les modèles d’avant-guerre :
Les marques Voisin, Hispano, Delahaye et bien sûr, Bugatti seront largement représentées lors de cette vente. Provenant d’une Collection scandinave, on retrouve notamment une Bugatti 40 Roadster par Gangloff, retrouvée dans une grange il y a une dizaine d’années dans un état complet et strictement d’origine, entièrement restaurée avec goût par notre collectionneur.

Également, une Bugatti 57 Galibier se distingue comme l’un des exemplaires les mieux préservés.
La marque Bugatti sera également à l’honneur lors de ce prochain événement, mettant en lumière plusieurs modèles d’exception, parmi lesquels se distingue une réplique emblématique de la Bugatti 35 Grand Prix, minutieusement réalisée par le célèbre expert de la marque Amilcar, Gilles Fournier. Sa passion pour les voitures de course d’avant-guerre, en particulier les Bugatti, l’a conduit à créer avec le plus grand soin cette remarquable reproduction de la Bugatti 35 Grand Prix de Lyon, intégrant méticuleusement de nombreuses pièces d’origine.

Conformément aux souhaits du collectionneur, cette pièce exceptionnelle sera mise aux enchères sans prix de réserve au profit de l’association France Parkinson, incarnant l’esprit de générosité qui anime la communauté automobile.

Et les sorties de grange :
Parmi celles-ci et appartenant à la même famille depuis l’origine, la Delaunay Belleville Type HB6 coupé chauffeur datant de 1913, automobile de luxe produite au début du 20ème siècle par le polytechnicien Louis Delaunay, reconnue à l’époque pour ses innovations techniques. Ce modèle rarissime a récemment été découvert dans les locaux d’une propriété familiale. A ses côtés, la Peugeot 301 Roadster qui a brillé sur la scène des concours d’élégance dans les années 30, et la remarquable Léonce Bobrie « Torpille » de 1909, restée préservée au sein de la famille du constructeur depuis ses débuts. Un modèle biplace équipé d’un 1323 cm3 de 6 à 8 CV, seulement 14 exemplaires pouvant rouler jusqu’à 80 km/h ont été construits entre 1906 et 1914.

35ᵉ et ultime édition du Trophée Andros.

35ᵉ et ultime édition du Trophée Andros.

Après 35 années de compétition exaltante sur glace, le e-Trophée Andros annonce sa dernière saison, marquant la fin d’une ère dans le monde du sport automobile. 

Depuis 1990, la compétition emblématique a su allier performance et innovation, repoussant toujours plus les limites des véhicules sur des circuits glacés. Depuis 1990, plus de 2000 pilotes venant de tous horizons y ont participé avec 20 constructeurs engagés, et plus de 350 courses ont été disputées. Entièrement électrique depuis 2020, le Trophée Andros, entame sa 35ème et ultime saison.

Nous sommes à Val Thorens pour la première épreuve de la saison 2023-2024. Quatre meetings suivront dans la saison, Andorre 15 et 16 décembre 2023, Isola 2000 12 et 13 janvier 2024, Lans- en-Vercors 19 et 20 janvier 2024 et la grande finale à Super-Besse le 27 janvier 2024, épreuve ultime de cette complétion sur glace. La station de Val Thorens a bien fait les choses, la circuit de glace est magnifique et les concurrents vont pouvoir en découdre dans de bonnes conditions.

Ce samedi, c’est la première course de la saison 2023/2024  du 35ème e-Trophée Andros sur la glace sur le circuit de Val Thorens. En catégorie Elite Pro, c’est  Nathanaël Berthon (#63 – Peugeot e-208 – SP Compétition), qui dégoupille le premier lors  des qualifications, en explosant le record du circuit. Après le tirage au

sort de l’ordre de passage des 6 pilotes qualifiés pour la Super Pole, celle-ci est remportée par Sébastien Loeb (#9 – Mersen AS01 – Sébastien Loeb Racing). Nathanaël Berthon  garde l’avantage au cumul des points, et se place

sur la 1ère ligne pour la Finale, suivi du vainqueur sortant Aurélien Panis (#38 – Isère Audi A1 – Sainteloc Racing) et de JB Dubourg (#3 – Renault Zoé – DA Racing). La finale s’annonce très disputée, après de multiples accrochages, c’est le tenant du titre Aurélien Panis qui passe le drapeau à damiers en tête, devant JB Dubourg et Nathanael Berthon. Au cumul des résultats de la journée, Nathanael Berthon décroche sa première victoire de la saison.

En catégorie Élite (pilotes gentleman drivers), c’est Gérald  Fontanel qui empoche le première manche et permet au team DA Racing de signer un doublé pour cette première course de la saison à Val Thorens. En effet, Gérald Fontanel (#3 – Renault Zoé), pour son 20ème Trophée Andros,  réalise le meilleur temps des manches

qualificatives, suivi de son coéquipier Anthony Pelfrene (#87 – Renault Zoé). La Finale offre un magnifique spectacle derrière un Gérald Fontanel intouchable. La bataille pour la 2ème place est disputée entre Anthony

Pelfrene et Louis Gervoson (#38 – Isère Audi A1- Sainteloc Racing). Roue dans roue, Anthony résiste aux attaques intrépides de Louis. In fine, Gérald Fontanel décroche sa première victoire de la saison,  Anthony Pelfrene monte sur la seconde marche du podium, suivi de Louis Gervoson, qui fête aujourd’hui son 35ème anniversaire.

Pour la deuxième course du weekend, le soleil est au rendez-vous dans la station de Val Thorens. Yann Ehrlacher (#68 – Invivo AS01 – Mracing), après une première journée décevante, remporte les qualifications devant les deux pilotes du Sébastien Loeb Racing, Dorian Boccolacci (#98 – AS01) et Sébastien Loeb (#9 –

Mersen AS01). Au cumul des points, Dorian Boccolacci se place en pole position pour la Finale, aux côtés de 3 champions du monde sur la grille de départ, Yann Ehrlacher, Sébastien Loeb, Benoît Treluyer (#35 – Andros Sport – Mracing). Après un premier tour roues contre roues et une bataille acharnée dans la première partie du peloton, c’est finalement Dorian Boccolacci qui s’impose devant Yann Ehrlacher et Aurélien Panis. À l’issue de ses performances de la journée, il décroche une première victoire aux côtés de Yann Ehrlacher et Sébastien Loeb, qui terminent respectivement 2ème et 3ème de cette journée.

En Catégorie Élite, Louis Gervoson sonne la charge, au volant de Audi A1 #38, il remporte haut la main les deux manches qualificatives, devant Anthony Pelfrene (#87 – Renault Zoé – DA Racing) et Sylvain Pussier (#63 – Peugeot e208 – SP Compétition) et part en pôle position. Il réalise le grand chelem de la journée en remportant la finale d’une manière magistrale, et s’octroie une première victoire devant Anthony Pelfrene et Sylvain Pussier.

Rendez-vous en Andorre les 15 et 16 décembre pour la suite du 35ème e-Trophée Andros. 

PHOTOS MICHEL MORILLON