par François Vincent | Nov 6, 2022 | AUTO, ESSAIS
Le grand retour d’un modèle phare.
Comment Volkswagen fait revivre l’ADN du T1, un modèle emblématique des années 1950 avec le lancement de l’ID. Buzz et l’ID. Buzz Cargo ? Tout comme le premier Combi de 1950, ces nouveaux modèles affichent un design sobre et épuré, des lignes historiques, un usage fonctionnel, tout en faisant naître une riche palette d’émotions.
Une réussite totale.
En reprenant l’ADN du mythique Combi T1 des années 50 pour le faire revivre à l’heure de l’électromobilité ce modèle phare avec l’ID. Buzz, Volkswagen propose une réinterprétation des principales caractéristiques techniques et visuelles de cette icône adaptée à l’ère du numérique. L’ID. Buzz est à la fois intemporel, durable et fonctionnel jusque dans le moindre détail : autant de qualités qui en font un modèle d’exception, synonyme de sympathie.
Avec l’ID. Buzz, Volkswagen se positionne sur un nouveau segment de marché et poursuit ainsi sa stratégie “ACCELERATE“ en assurant le développement à un rythme accru de modèles électriques dans toutes les catégories de véhicules. Ainsi, d’ici 2030, Volkswagen entend franchir le seuil de 70 % de véhicules entièrement électriques sur l’ensemble de ses ventes en Europe, soit plus d’un million de voitures. Est-ce réellement ce qu’attend un passionné d’automobile… Certainement pas mais c’est le sens de l’histoire écrite par l’Europe à terme de 2035 et l’abandon de la fabrication de véhicules thermiques. L’histoire et l’avenir nous dira si la réussite est au bout de la route et si ce virage a répondu à la problématique écologique qui dicte ce choix.
L’ID. Buzz et l’ID. Buzz Cargo, c’est-à-dire les versions Microbus et Transporter de ce nouveau modèle, suivent les traces de leur ancêtre en reprenant ses lignes épurées. Comme le T1 la ligne est simple, précise et attrayante. L’ID. Buzz Cargo, par exemple, n’est pas uniquement un utilitaire pratique, c’est aussi un modèle particulièrement innovant doté d’un design expressif et extrêmement fonctionnel.
L’ID. Buzz propose donc une ligne spécifique : un capot en forme de V et un logo VW géant. La proue des nouveaux modèles témoigne de la volonté des concepteurs de faire revivre l’ADN des anciens Combis, et ce logo géant était déjà présent sur le modèle iconique. Les blocs optiques avant sont quant à eux reliés par un bandeau lumineux. La séparation nette de la caisse entre zone supérieure et zone inférieure se poursuit sur les flancs et à l’arrière, une caractéristique particulièrement visible sur les versions bicolores proposées en option qui rappellent là aussi le T1 historique.

Les jantes constituent une caractéristique visuelle particulièrement remarquable avec leur langage de conception propre et le rôle majeur qu’elles jouent pour augmenter l’efficacité et l’autonomie du véhicule, L’ID. Buzz est dotée en exclusivité de jantes qui semblent faites d’un seul tenant, mais il s’agit en fait de jantes hybrides composées de deux pièces. Étonnant autant qu’efficace !
Côté habitacle, il est particulièrement spacieux. Les lignes épurées du tableau de bord sont agréables et les nombreux rangements et interfaces accessibles en toute simplicité apportent à ce véhicule un aspect pratique et confortable. Une large part de ce confort se ressent grâce à l’éclairage d’ambiance.
Quant aux matériaux utilisés dans la fabrication des équipements, le développement durable a joué un rôle clé dans le choix des matériaux de l’ID. Buzz. L’habitacle ne comporte pas la moindre trace de cuir animal. Certains revêtements seront proposés dans un matériau dont la garniture sera fabriquée à partir de bouteilles en PET et de plastiques récupérés dans l’océan. L’ID. Buzz combine espace généreux et confort avec l’univers numérique des smartphones et de la maison.
Côté motorisation… Bien que l’ID. Buzz n’embarque aucun moteur thermique, un élément qui occupe souvent une place importante sur les modèles conventionnels, son capot abrite un grand nombre de systèmes techniques, à commencer par le système de chauffage et de climatisation ou encore le servofrein.


Martin Meiners
L’ID. Buzz et l’ID. Buzz Cargo sont disponibles de série avec la batterie de 77 kWh (capacité nette), soit une puissance réelle de 205 ch Ce qui lui permet d’afficher une autonomie de 419 km charge pleine à 100 %. Une batterie Lithium Ion placée sous le châssis entre les 2 essieux, qui peut se recharger en 30 mn pour une recharge jusqu’à 80% sur une borne équipée d’une puissance de 135 kW. Prévoir 7 h 30 sur une borne personnelle (proposée par des partenaires sélectionnés par VW) d’une puissance de 11 kW.

Des équipements disponibles : La dotation de série de ces deux modèles comprend dès le lancement en France un système d’infodivertissement entièrement connecté, un volant multifonction, des feux à LED, une climatisation automatique, un régulateur de vitesse ainsi que des systèmes d’aide à la conduite et d’alerte comme le système de communication Car2x ou encore le freinage d’urgence Front Assist (assistant de maintien de trajectoire Lane Assist également fourni de série sur l’ID. Buzz Pro) ou encore l’App-Connect sans fil sur l’ID. Buzz Cargo.

L’ID. Buzz est intégralement équipée de LED, avec l’éclairage IQ.LIGHT disponible en option. Les feux matriciels à LED constituent un élément majeur de l’identité du nouveau modèle,
Au volant : nous avons pris beaucoup de plaisir au volant de ce van/monospace nouvelle génération et revivre quelques kilomètres l’aventure dans ses univers de prédilection que sont le surf, la musique, le voyage…la liberté !
Nous avons vraiment apprécié ces moments à bord, où tout est douceur et confort de vie. Vous allez penser que nous sommes très condescendants avec VW mais quand ce n’est pas bien, nous le disons. Pourquoi ne pas dire réellement tout le bien d’une voiture quand c’est le cas.
Ce nouveau ID Buzz, un van « monospace » 100% électrique de toute beauté et offrant à la fois de belles performances, une merveilleuse habitabilité, une grande modularité, un confort de conduite exceptionnel. Et un look d’enfer ! Il lui manquera peut-être une poignée pour faciliter la monté à bord côté passager (fallait bien que je trouve un truc !), un toit ouvrant panoramique, qui devrait arriver bientôt, comme la version longue de l’ID. Buzz, qui offrira 6 ou 7 places selon la version choisie. Pour le reste, tout y est, le plaisir en plus.
L’ID. Buzz Pro, modèle 5 places, est disponible en 7 couleurs, plus les versions bicolores, à partir de 56 990 euros TTC. L’ID. Buzz Cargo est disponible à partir de 47 990 euros HT. Les prix sont annoncés hors bonus écologique en vigueur. Et hors packs, puisqu’il existe 5 packs différents en option, en fonction des choix du conducteur : packs Confort, Design, Infotainment, Assistance, Open & Close.
Les nouveaux ID. Buzz et ID. Buzz Cargo sont pré-réservables via la plateforme dédiée : https://www.id-buzz.fr. Celle-ci permettra aux personnes inscrites de bénéficier de l’ensemble des informations jusqu’à l’arrivée officielle des nouveaux modèles en France, le lancement officiel étant prévu le 21 novembre en concession. Les inscrits seront également invités à sélectionner le partenaire réseau de leur choix et pourront ainsi commander leur ID. Buzz en priorité.
En conclusion, moi, si hostile à l’électrique, nul doute que cet ID. Buzz remet en cause vos certitudes !!! Et si je devais me convertir à l’électrique, cet ID Buzz serait le véhicule que je choisirais sans hésiter ! En partie en référence au fameux combi des années 50, que nous avons tous rêvé de posséder un jour, mais aussi parce qu’il garde cet esprit baba-cool voyageur, rider, surfer ou road-tripeur !
Merci à Volkswagen pour ce voyage sur les routes portugaises au volant de cet ID Buzz qui est dans la digne lignée de ces modèles de légende T1, T2…. Un T1 dont nous avons eu le plaisir de prendre les commandes quelques instants, un nouveau voyage pour rajeunir de quelques années, moteur thermique en plus !


Mais Bordeaux est toujours là !
C’est bien dans cet esprit que j’ai pu aussi rencontré de mêmes passionnés qui proposent pour certains la location de ces Combi, Californian et bientôt ID Buzz (Campy Camper installé a Biarritz – www.campy
camper.com) ou encore Thomas Cervetti, un bordelais qui fabrique avec ses équipiers des surfs en matériaux recyclés (
www.nomads-surfing.com). Une belle démarche parfaitement en lien avec celles du groupe VW.
Comme quoi Bordeaux et le Sud Ouest ne sont jamais très loin et représentent parfaitement les valeurs de cette région (la mienne…), entre liberté, grands espaces entre mer et montagne et plaisir tout court !
par Michel Morillon | Oct 8, 2022 | AUTO, ESSAIS
Créée en 1992, l’activité automobile de Suzuki France célèbre aujourd’hui 30 ans .. En trois décennies, l’activité automobile a multiplié par 9 ses ventes en France et électrifié tous ses véhicules particuliers.
Sur près de 2,9 millions de véhicules Suzuki vendus l’an passé, plus de 25 000 l’ont été en France. Marque implantée depuis 30 ans sur le marché français, l’activité automobile de Suzuki a connu une croissance régulière depuis l’année de sa création. En 1992, Suzuki n’avait commercialisé que 2 863 voitures neuves. Toujours présents à la gamme actuelle, la citadine Swift, le Vitara, précurseur du marché des SUV, et le légendaire 4×4 Jimny existaient déjà en 1992…
Depuis les années 2010, Suzuki développe ses propres technologies d’hybridation. Initiée dès 2016, installée sur le best-seller Swift en 2017, cette technologie est aujourd’hui au bénéfice d’une gamme de voitures particulières 100 % hybride. En 2022, la Marque a introduit, d’abord sur le Vitara et très bientôt sur le nouveau S-Cross, une nouvelle motorisation hybride auto-rechargeable particulièrement efficiente.
Lancé fin 2021 sur le marché Français, le nouveau S-Cross est proposé avec une motorisation 1,4 Boosterjet équipé d’un système d’hybridation SHVS 48V. SUV à vocation familiale, le S-Cross est le modèle le plus récent de la gamme Suzuki, et bénéficie des dernières évolutions de la Marque en termes de design.
Le nouveau S-Cross adopte des optiques avant à LED et une signature lumineuse qui soulignent la base de son capot. En bas du bouclier, un large insert couleur argent modernise l’avant, tandis que des arches de roues noires et des bas de caisse affirment l’identité SUV du S-Cross. A l’arrière les feux en relief, également à LED, sont reliés par un bandeau noir qui donne une touche d’exclusivité et vient englober le logo Suzuki. Ce nouveau S-Cross propose une carrosserie compacte. Son empattement de 2,60 m offre une bonne habilité et un accueil confortable pour cinq passagers et leurs bagages. Le volume du coffre peut évoluer de 293 à 430 litres en cinq places et selon les modèles.

Coté équipement, le S-Cross est disponible en trois niveaux de finition. La version Avantage est déjà fort bien équipée, c’est la politique de Suzuki, avec notamment les feux LED avant, arrière, quatre vitres électriques, la caméra de recul ou les jantes de 17’’. Le milieu de gamme en version Privilège bénéficie d’un équipement très complet et propose un système multimédia avec écran couleur de 9’’ et un toit ouvrant panoramique à double ouverture. La finition haut de gamme en version Style est super équipée avec la caméra 360° qui s’affiche sur l’écran de 9 pouces et facilite les manoeuvres. La seule option pour cette version est la peinture métallisée.
Suzuki nous propose pour cet essai une toute nouvelle motorisation pour son S-Cross, il s’agit du 1,5 Dualjet hybride auto-rechargeable. Cette motorisation 1,5 DUALJET HYBRID offre un haut rendement énergétique et de faibles émissions de CO2. Le bloc thermique est associé à un moteur électrique de 24KW et à une batterie de 140 volts. Ce dispositif permet au véhicule de fonctionner en tout électrique dans certaines situations, démarrage, phase de décélération ou marche arrière. Le moteur électrique est positionné en sortie de boite de vitesse robotisée 6 rapports. Cette implantation a été choisie pour atténuer les à-coups lors des passages des rapports de la boite automatique. Cette nouvelle motorisation 1,5 DUALJET HYBRID développe une puissance cumulée de 115 ch, elle équipe les versions deux roues motrices et quatre roues motrices ‘’AllGrip’’ du nouveau S-Cross.
Nous avons pu essayer, dans le magnifique décor des routes de Camargue, le S-Cross Hybrid Auto AllGrip en finition haut de gamme ‘’Style’’.
Au volant , la position de conduite est bonne, l’assise est confortable et offre un bon maintien, tous les instruments de bord sont très accessibles. L’écran de 9 pouces offre une visibilité parfaire. La planche de bord manque de modernité, un compteur digital aurait agrémenté l’ensemble. L’assemblage est correct, mais les plastiques sont de qualité moyenne pour un véhicule de ce prix.
Au volant on trouve un véhicule très souple à piloter. L’amortissement est bien équilibré, assez souple pour un le confort mais suffisamment ferme pour une tenue de route sans surprise. Sur les petites routes au revêtement moyen, le S-Cross propose un équilibre sans défaut. Le train avant est précis et le freinage efficace. La motorisation répond à tous les usages avec souplesse. Nous avons un petit bémol sur le fonctionnement de la boite robotisée à 6 rapports qui provoque quelques à-coups désagréables au passage des rapports, le moteur monte dans les tous sans réelle raison. L’ensemble est homogène et offre au volant un sentiment de sécurité.
Les tarifs de cette nouvelle version du Suzuki S-Cross s’étalent de 31890€ à 36290€ pour la version 1,5 Dualjet Hybrid Style Auto AllGrip que nous avons essayée.
Ce S-Cross offre un belle occasion d’acquérir un véhicule hybride auto-rechargeable sans se soucier des phases de recharge. Son design moderne et agressif se démarque de la concurrence et la technique hybridation innovante de Suzuki devrait le positionner en bonne place sur le marché des SUV.
Photos Michel MORILLON
par Michel Morillon | Sep 19, 2022 | AUTO, ESSAIS, Non classé
Quelques mois après la présentation du plan stratégique « Renaulution » qui fixe le cap de chaque marque, Renault pour l’électrification, Alpine pour le sport et la dernière brique, Mobilize, dédié aux services de mobilité, d’énergie et de données. Dacia se positionne en leader de la mobilité accessible, la marque de l’essentiel.
Dacia, une véritable histoire à succès, 7,5 millions de véhicules vendus en dix-huit ans, elle est aujourd’hui la 3e marque en Europe pour les ventes aux particuliers.
Dacia présente sa stratégie aux journalistes internationaux lors des journées « Brand Manifesto » au Bourget pour réaffirmer les trois valeurs qui guideront la marque dans les prochaines années.
Depuis dix-huit ans Dacia propose l’essentiel aux automobilistes et démontre que c’est suffisant. Mais le marché évolue et Dacia doit explorer de nouveaux territoires notamment sur le segment C ou la marque décide de renforcer son attractivité, sa désidérabilité tout en maintenant la notion de « value for money ». La notion d’essentiel évolue au fil du temps et les besoins des automobilistes d’aujourd’hui évoluent également .
Dans cette perspective, la marque s’est dotée d’une nouvelle identité, d’un nouveau logo, de nouvelles concessions, d’un nouveau design et de nouvelles couleurs. Pour élargir sa clientèle Dacia doit élargir sa
gamme et son niveau d’équipement. La climatisation est devenu eindispensable, le multi- média également mais les astuces sont possibles, utiliser le smartphone comme source d’information, avec le Média Control. Amener des innovations utiles est dans l’ADN de Dacia avec par exemple les barres de toits modulables très design et en série.
Dacia se veut « eco-smart », avec l’utilisation de matériaux recyclés, 12% du plastique utilisé dans Duster provient du recyclage avec un objectif de 20% pour la nouvelle génération. Cette ambition passera par l’utilisation de plastique recyclé mis au point par les ingénieurs de Dacia, à la fois écologique, robuste et élégants.
L’utilisation de la plateforme CMF-B permet à Dacia d’éviter de nouveaux développements, de réduire le poids et donc économiser le carburant. On le constate sur Jogger qui est 300 kg plus léger que ses principaux concurrents 7 places.
Dacia a bâti son succès sur la fiabilité et la robustesse. En France les clients Dacia conservent leur voiture huit ans et 60% d’entre eux eux rachètent une Dacia. La valeur résiduelle d’une Dacia est supérieur de 10 points à la valeur des marques généralistes concurrentes. Les clients Dacia aiment les véhicules multi usage et notamment la pratique de l’outdoor.
Pour garder ses valeurs Dacia doit accompagner cette tendance, consolider sa gamme et proposer des transmissions intégrales et des équipements dédiés à l’outdoor. Dés 2023, un kit sera proposé sur le Jogger avec la possibilité d’installer en quelques minutes un véritable lit 2 places, tout en préservant la capacité de rangement dans le coffre.
Pour tester ces innovations, Dacia s’est doté de « Manifesto » un concept-car qui concentre et réaffirme les valeurs de la marque. Le concept Manifesto n’annonce pas un futur modèle mais a pour ambition de tester de nouvelles directions pour les activités outdoor, coeur de cible des clients Dacia.
Dans ce véhicule, les passagers sont en contact direct avec l’environnement, pas de portes, pas de vitre, pas de pare-brise. Pour les connexions et services, le smartphone est intégré à la planche de bord et devient l’ordinateur de bord, un système simple, performant et économique. Le système « YouClip » est dévoilé sur ce nouveau concept-car, il permet avec des fixations permanentes d’installer très simplement une série d’accessoires utiles et modulables. Autre innovation, le projecteur avant unique, suffisamment puissant, avec l’utilisation de nouvelles technologies et extractible pour le transformer en puissante lampe torche. Le concert Manifesto est conçu pour
l’outdoor, une transmission aux 4 roues, une garde au sol généreuse, et il est waterproof. Le revêtement des sièges se transforme en sac de couchage et les barres de fixations sont déployables en multiples configurations. Une batterie dédiée est extractible et fournit de l’électricité à travers une prise domestique.
Avec le concept « Manifesto », Dacia nous propose la vision du véhicule outdoor de l’avenir, son empreinte carbone est minimum, léger et compact, il limite la consommation d’énergie. A n’en pas douter, certaines innovations se retrouveront très rapidement sur les véhicules de série de la marque Dacia.
PHOTOS : Michel MORILLON
par Michel Morillon | Août 2, 2022 | AUTO, ESSAIS
C’est à Francfort que le constructeur Kia a dévoilé le nouveau Kia Niro. C’est la 5e génération de ce modèle lancé en 2016 et vendu en France à 34 000 exemplaires dont 39 % en version électrifiée. Kia présente la gamme électrifiée du Niro avec une version hybride (HEV), une version hybride rechargeable (PHEV) et une version tout électrique (EV). Le constructeur affirme son objectif d’électrification de sa gamme, il a d’ailleurs été récompensé pour son modèle haut de gamme, la Kia EV6 élue voiture de l’année 2022. Nous disposons des trois versions pour nos essais.
Les lignes extérieures du nouveau Niro sont très réussies, le nouveau Niro apporte au segment des SUV une dimension de modernité et d’esthétique remarquable. À l’avant, le nouveau Niro adopte la dernière déclinaison de la face avant « Tiger Face » / (Tête de tigre) emblématique des modèles Kia. Les feux de jour « Heartbeat » aux lignes anguleuses viennent accentuer le look très contemporain du Niro, tandis que le sabot de protection et la moulure inférieure du bouclier contribuent à mettre en avant son caractère robuste. Le Kia Niro 100% électrique reçoit un traitement spécifique au niveau de son bouclier et de sa grille inférieure et se dote de jantes alliage exclusives de 17 pouces. La prise de recharge de la version électrique est positionnée au centre de la calandre
pour une plus grande facilité d’accès à toutes les bornes de recharge. Vu de profil, le nouveau Niro affichent des lignes maîtresses et le profil audacieux de son montant C aérodynamique qui s’étire en direction de sa partie arrière. Ce principe facilite la circulation de l’air à sa partie inférieure et garantir une meilleure aérodynamique. Le nouveau Kia Niro offre un très bon coefficient de trainée (Cx) de 0,29.
Les feux arrière à LED en forme de boomerang épousent le profil du panneau d’aile et viennent mordre sur le montant C, contribuant ainsi à accentuer l’allure sportive du véhicule.
Les clients auront le choix entre neuf coloris extérieurs : Vert Aventurine, Blanc Céleste, Blanc Nacré, Noir Ebène, Bleu Minéral, Gris Cosmique, Orange Boréale, Rouge Magma et Gris Comète. Pour personnaliser encore davantage leur véhicule, ils pourront également choisir entre 3 combinaisons de coloris pour le montant C afin de créer un contraste ou une unité de ton avec la livrée du véhicule.
Le plus étonnant de ce nouveau Kia Niro est le soin et la modernité apportés à l’habitacle intérieur. Grâce à la plateforme « K » dédiée aux véhicules du segment C, l’habitacle du nouveau Niro bénéficie de dimensions optimisées par rapport à celles de son prédécesseur. Fort d’un plus vaste espace intérieur et d’une meilleure ergonomie, le nouveau Niro offre une habitabilité d’exception aux places avant. Le design affiné des sièges avant offre aux passagers de la deuxième rangée un espace généreux et confortable. La planche de bord au design asymétrique enveloppe le conducteur, l’accès aux commandes indispensables est facilité par une ergonomie bien pensée. Deux écrans d’affichage contigus de 10,25 pouces affichent les informations du véhicule et de
navigation tandis qu’un affichage tactile multifonction permet de commander les systèmes de chauffage et d’infodivertissement. Le nouveau Niro se dote, selon les versions, d’un hayon électrique qui s’ouvre automatiquement dès qu’il détecte la clé intelligente du conducteur. Sur la version 100% électrique, le conducteur peut visualiser et contrôler l’état de charge du véhicule et localiser les bornes de recharge à proximité.
Le nouveau Niro bénéficie de nombreuses fonctions d’agrément parmi lesquelles le système RSPA permet au conducteur de quitter son véhicule avant de le stationner et
de réaliser la manœuvre en appuyant sur un simple bouton de la télécommande, le véhicule est capable de se garer par lui-même en avançant et en reculant en ligne droite à l’aide de ses caméras à vision panoramique et de ses capteurs à ultrasons. Le nouveau Niro offre une capacité de chargement parmi la meilleure de sa catégorie notamment la version électrique avec 475 litres de son volume de coffre aux 20 litres supplémentaires de son coffre avant. Les versions hybride et hybride rechargeable revendiquent quant à elles un volume de chargement total de 451 et 348 litres qui peut être optimisé en rabattant à plat leurs sièges arrière. Avec les sièges arrière repliés, le volume de chargement peut être porté respectivement à 1 445 litres, 1 342 litres et 1 392 litres sur les versions hybride, hybride rechargeable et électrique.
Coté motorisation, les modèles hybride et hybride rechargeable se dotent du moteur essence Smartstream GDI 1,6 litre de Kia associé à sa transmission automatique à double embrayage à six rapports (DCT6) de deuxième génération. Sur la version hybride, le bloc quatre cylindres développe une puissance maximale combinée de 141 ch lorsqu’il est associé au moteur électrique synchrone à aimant permanent de 32 kW (43,5 ch). La déclinaison hybride rechargeable se dote, quant à elle, d’un moteur électrique de 62 kW (84 ch) qui contribue à délivrer une puissance combinée maximum de 183 ch – ce sont 42 ch de plus que son prédécesseur et offre une autonomie en mode tout électrique de 65 km (cycle mixte WLTP, avec jantes 16 pouces).
La version 100% électrique du Niro (Niro EV) associe une autonomie exceptionnelle de 460 km (WLTP) – contre 455 km pour le modèle qu’il remplace et développe une puissance de 150 kW (204 ch) un couple instantané de 255 Nm. Le nouveau Kia Niro EV propose de série un chargeur embarqué triphasé de 11 kW.
Les versions hybride et hybride rechargeable conservent une remarquable capacité de remorquage freinée de 1 300 kg. Le nouveau Kia Niro 100% électrique offre, quant à lui, une capacité de remorquage de 750 kg, permettant aux clients, de donner libre cours à leurs envies d’aventure, sans émettre le moindre rejet polluant.

Nous avons pu essayer les trois versions du nouveau Niro sur un parcours d’environ 70 km offrant une variété de terrain, de la ville à la nationale, un peu d’autoroute et de belles portions sinueuses dans la banlieue de Francfort. Malgré des poids différents, de 1 490 kg pour le HEV à 1 739 kg pour l’électrique, le comportement routier des trois modèles est sensiblement identique. On apprécie immédiatement le confort de suspension et sa douceur de fonctionnement. Le châssis et le train avant sont efficaces sur les routes sinueuses et le confort et le silence agréable sur autoroute. Sur la version PHEV, avec un pied léger, on effectue facilement les 50 à 60 kilomètres annoncés en 100 % électrique sans réveiller le 1,6 l. On peut activer le mode sport pour une
conduite plus dynamique et des relances plus franches. La version 100% électrique est très agréable à conduire, le silence, la fluidité et la souplesse de fonctionnement en font un véhicule très attractif et très fonctionnel. Avec 460 km d’autonomie WLTP, Kia place la barre très haute mais nous n’avons pas pu tester ces données.
Les tarifs vont de 31790 € à 48090 € selon les modèles et le niveau de finition. A noter le bonus de 1000 € pout la version hybride rechargeable (PHEV) et 6000 € pour la version 100 % électrique (EV)
Ce nouveau Kia Niro nous a véritablement séduit, un look qui attire le regard, un environnement intérieur d’une grande modernité, notamment avec une planche de bord très réussie. Le confort et la fluidité de fonctionnement associé à un comportement routier sans reproche donnent à ce nouveau Kia de vrais atouts sur le segment très concurrentiel des SUV compacts.
PHOTOS : Michel MORILLON
par François Vincent | Mai 20, 2022 | AUTO, ESSAIS
Toyota Aygo X, un crossover urbain au goût épicé !
Compacte mais spacieuse, la nouvelle Aygo X est le premier crossover urbain de Toyota sur le segment A. Avec son design audacieux, une personnalité « épicée », l’Aygo X affiche un tempérament fort. Conçue et produite en Europe, pour une clientèle européenne, l’Aygo X offre un niveau de prestations et d’équipements digne du segment supérieur, tout en restant accessible et sobre
Avec la toute nouvelle Aygo X – prononcez Aygo « Cross » – Toyota lance un crossover urbain inédit, conçu et produit en Europe sur la même plateforme GA-B que la Yaris et la Yaris Cross.
TOYOTA AYGO X FINITION AIR LIMITED
Que ce soit en ville ou sur route, cette Aygo X, compacte et agile, répond bien aux objectifs que l’on demande à une citadine du segment A devenue crossover. Et pour être presque parfaite, elle intègre les meilleures avancées technologiques dans un ensemble économique à l’usage.
Avec son design et son style caractéristique, sa silhouette surélevée et ses flancs sculptés, une large offre de personnalisation, sa position de conduite haute et plus d’espace à bord, l’Aygo X propose un nouveau concept qui saura séduire toutes les générations, cherchant une voiture audacieuse et piquante !
Vous avez dit épicé ?
Les quatre coloris de cette nouvelle venue font références aux épices et le traitement biton participe à créer un profil graphique unique. Ainsi, l’Aygo X propose une gamme de teintes spécifiques, du Vert Cardamome pour l’élégance, au Rouge Piment, qui attire le regard, le Beige Gingembre, sophistiqué, évoquant l’aventure, au Bleu Genièvre, apportant une fraîcheur masculine et… glaciale.
Ce thème autour des épices ne concerne pas seulement la carrosserie. La finition intérieure répond aux couleurs extérieures pour donner un design distinctif à l’habitacle, notamment au tableau de bord et à la console centrale.

Au volant
Faite pour la ville, c’est sur les routes autour de la belle ville de Lyon, capitale des Gaules que nous avons pu tester ce nouveau modèle et apprécier les qualités de ce crossover originale.
Comme tous les modèles commercialisés aujourd’hui, l’Aygo X n’échappe pas à la règle ! Plus longue de 23 cm, soit 3,70 m, plus large de 12 cm, plus haute de 6,5 cm, cela bénéficie bien évidemment à une meilleure habitabilité : + 45 mm d’’espace aux épaules. Mais aussi offre un coffre parmi les plus grand du segment soit 231 litres. Avec les sièges arrière rabattus, le volume de chargement atteint 829 litres. Enfin, elle bénéficie d’un rayon de braquage exceptionnellement réduit de seulement 4,70 m. Idéal pour la ville.
Pour autant, l’Aygo trouve un peu ses limites dès que l’on attaque les voies rapides. Mais dans toutes les situations de conduite, on se sent en parfaite sécurité, et on apprécie son agrément de conduite. Presque plus agréable d’ailleurs avec la boite mécanique à 5 rapports qu’avec la transmission S-CVT, qui offre pourtant une bonne réactivité, un fonctionnement intuitif et linéaire, sans consommation excessive. On remarquera la taille des roues inhabituelle dans cette catégorie, puisqu’elle est équipée de jantes en alliage de 18“.
L’Aygo X ouvre une nouvelle page sur le segment A en devenant le premier crossover urbain découvrable. Avec la série limitée Aygo X Air Limited disponible en France, elle propose en exclusivité la capote en toile découvrable électriquement. Très agréable, facile à manipuler et filtrant parfaitement les bruits en circulation.
Toyota rime avec technologie : l’Aygo aussi !

L’Aygo X reçoit les plus récentes technologies proposées par la marque. Le Toyota Smart Connect et son grand écran tactile haute définition de 9 pouces, un système de recharge à induction, une navigation connectée actualisé en permanence via Android Auto et Apple CarPlay, Équipé d’un éclairage « full LED », une série le pack d’équipements de sécurité Toyota Safety Sense pour la première fois sur un modèle du segment A, l’Aygo X bénéficie aussi d’éléments de sécurité passive supplémentaires, tels que des renforts structurels pour l’absorption des chocs afin d’assurer une sécurité totale.
Exclusivement en version thermique !
L’Aygo X, propulsée par le moteur essence 1 litre, 3 cylindres, 1KR-FE, qui a été encore été amélioré pour répondre aux réglementations européennes offre un niveau élevé de fiabilité et d’agrément de conduite. Le résultat est une consommation moyenne en cycle mixte de 4,9l/100km. Quant aux émissions de CO2, elles sont contenues à 108-110 g/km* (transmission manuelle), 112-114 g /km* (transmission S-CVT).
Force est de constater que la nouvelle Toyota Aygo X, grâce à son positionnement spécifique, son style original, sa qualité de sa finition, ses performances, rendent la nouvelle offre de Toyota sur le segment A particulièrement compétitive.

La nouvelle Toyota Aygo X, déjà disponible à la commande, sera commercialisée en France en juin prochain à partir de 15 990 euros pour la version d’entrée de gamme, Active, jusqu’à 22 990 € pour la série limitée Air Limited (disponible sur une durée limitée de 6 mois), en passant par les versions Design ou Collection, cette dernière vendue 19 690 €. Un peu cher pour une mini-citadine, mais se démarquer a un coût !
FV
par Michel Morillon | Avr 6, 2022 | AUTO, ESSAIS
Après la version hybride simple, la cinquième génération du Kia Sportage offre une gamme complète avec le lancement de la version hybride rechargeable qui s’ajoute aux versions essence et diesel micro-hybridés. Cette version hybride rechargeable ne se distingue pas au premier abord du reste de la gamme, elle reprend l’ADN de la marque avec le nouveau logo, la face avant marquée par des feux de jour en boomerang, la grande calandre en nid-d’abeilles et des lignes particulièrement fluides. Conçu pour le marché européen, le Sportage est fabriqué dans l’usine slovaque de la marque.
Sur la version haut de gamme GT-line Premium que nous avons essayée, l’habitacle est particulièrement luxueux, le constructeur a fait de gros efforts sur la qualité et l’harmonie des différents matériaux. La planche de bord est bien équilibrée avec
une dalle composée de deux écrans de 12,3’’ bien intégrée, (à partir du milieu de gamme, de 8” pour l’ entrée de gamme). L’écran central est tactile et l’interface intuitif malgré les nombreuses fonctions proposées. Malheureusement, cet écran n’est pas compatible avec Android Auto et CarPlay en mode sans fil, il faut brancher son smartphone pour profiter des interfaces de Google et Apple. L’écran du compteur
intègre l’affichage par caméra des angles morts quand les clignotants sont actionnés, une fonction dont on s’habitue très vite et qui est une vraie aide à la conduite. On trouve également une autre fonction intéressante qu’est l’alerte de redémarrage du véhicule situé devant le Sportage, pratique dans les embouteillages. On regrette toutefois qu’aucun système d’affichage tête haute ne soit proposé. Déjà vu sur l’EV6, la planche de bord est complétée par un bandeau tactile qui permet d’accéder par touches tactiles aux commandes pour l’infodivertissement ou la ventilation. Cette version haut de gamme est particulièrement bien équipé avec très peu d’options. On note le hayon électrique à ouverture mains-libres, les sièges avant à réglages électriques, chauffants et ventilés, le volant chauffant, les sièges latéraux arrière chauffants, ou encore le toit ouvrant panoramique. La banquette est inclinable et suit un découpage 40/20/40, l’espace est confortable et les passagers profitent de ports USB. Le volume du coffre de cette version hybride rechargeable atteint 540 l, un bon point par rapport à la concurrence, les coffres des hybrides rechargeables sont souvent réduits à cause de l’emplacement des batteries.
La motorisation de notre Sportage se compose d’un quatre cylindres turbo-essence 1.6 T-GDi de 180 ch, associé à un moteur électrique de 66,9 kW (91 ch). L’ensemble développe une puissance combinée de 265 ch et un couple de 350 Nm, envoyés aux quatre roues via une boîte automatique à 6 rapports et une transmission intégrale. Le Sportage propose trois modes de fonctionnement différents. En mode EV, il roule uniquement à l’électricité, mais le moteur thermique peut toujours intervenir en cas de forte sollicitation. En mode HEV le Sportage se comporter comme un modèle hybride non rechargeable, Il s’enclenche automatiquement lorsque la batterie est déchargée. Le Sportage hybride rechargeable est un véritable 4×4 avec arbre de transmission, Il propose des modes de conduite adaptés hors des sentiers battus (neige, boue et sable) pour ajuster sa motricité, et un système de contrôle de la vitesse en descente.
Nous avons pris le volant du Sportage hybride rechargeable sur l’île de Ré. Nous vérifions sur un premier parcours à l’intérieur de l’île, l’autonomie électrique que le constructeur annonce à 70 kilomètres. Test réussi, nous parcourons 68 kms en mode EV (tout électrique) avant de passer en mode hybride. Notre essai se poursuit sur un terrain mixte pour évaluer les qualités routières de notre Sportage. Avec les 180 cv de la motorisation thermique, le Sportage hybride rechargeable est prêt pour les longs trajets avec une consommation correcte d’environ 7 l/100 km. Le moteur est souple et silencieux, bien accompagné par une boite automatique à six rapports bien étagés et douce dans les changements de régime. Dans les enchaînements sinueux le Sportage, qui pèse presque 2 tonnes manque de dynamisme, le châssis qui est adapté aux véhicules hybrides est soumis à plus de contraintes avec le poids des batteries, ce qui provoque quelques
mouvements de caisse, mais notre Sportage qui n’est pas un véhicule à vocation sportive s’en sort bien. Dans ces conditions, les grosses jantes de 19 pouces de la finition GT Line Premium est un petit handicap supplémentaire. Petite surprise dans les premiers tours de roue, l’attaque de la pédale de frein est un peu mole et il y a un temps de latence avant un freinage efficace, après quelques kilomètres on s’habitue à ce phénomène. La récupération d’énergie au lever de pied est modérée et non réglable. Dommage que les palettes au volant ne servent pas à la régénération d’énergie du type mode B plus efficace. Une fois la batterie arrivée à son seuil minimum, le système bascule alors en mode hybride simple.
Le Sportage hybride rechargeable est irréprochable au niveau du confort et de la sécurité. Les sièges sont confortables et le maintien latérale efficace, on regrette le manque d’allonge de l’assise. Sur notre version d’essai les sièges sont électriques, chauffants et réfrigérants, et le volant est chauffant. Au niveau des aides à la conduite, on trouve le freinage automatique d’urgence avec reconnaissance des piétons et cyclistes, y compris aux croisements, de la surveillance des angles morts,
ou encore des caméras 360°. Le système de conduite autonome de niveau 2 permet de centrer la voiture dans sa voie lors de l’usage du régulateur adaptatif. Il se montre relativement efficace pour une conduite assistée mais il est nécessaire de donner des impulsions dans le volant pour indiquer que le garde bien en mains.
Le Sportage dans sa version hybride rechargeable (PHEV) est vendu à partir de 43 290 €. Pour la finition haut de gamme GT-line Premium de notre modèle d’essai, il faudra débourser 50 290 €. Cette version dépasse la barre des 50 000 € et n’est pas éligible au bonus de 2000 € (1000 € à partir de juillet) habituellement accordé aux véhicules hybrides rechargeables.
Le nouveau Sportage hybride rechargeable affiche de nombreux atouts. Son design est novateur et dynamique. Le confort et l’habitabilité sont irréprochables, tout comme l’ équipement complet et ergonomique. Son positionnement tarifaire lui est favorable et la garantie 7 ans peut jouer en sa faveur face à la concurrence.