NOUVELLE FIAT 600e UN AIR DE DOLCE VITA !!!

NOUVELLE FIAT 600e UN AIR DE DOLCE VITA !!!

Après le succès  de la Fiat 500, première vente du constructeur depuis la métamorphose du modèle iconique des années 50, Fiat remet au goût du jour le modèle 600 dit « familial » lancé en 1955, pour en faire une  version électrique et  revenir sur le segment B en plein essor.

Fiat poursuit son action en faveur de la mobilité  urbaine et durable et la 600e est une bonne opportunité de prendre des parts de marché sur ce segment B très concurrencé.

Coté design, cette nouvelle Fiat 600 reprend les codes qui ont fait le succès de la petite 500, un avant tout en rondeur mais avec des marqueurs spécifiques à cette 600e avec un  bouclier avant très différent. Ce dernier arbore de larges prises d’air, une calandre dont le dessin a légèrement été modifié une ouverture inédite, juste en

  

dessous du monogramme 600. A l’arrière, nous découvrons des feux carrés qui nous rappellent ceux de la 500X, que cette 600e va remplacer. La ligne générale est fluide et compacte pour ce petit SUV plus proche d’un crossover.  Les dimensions de la 600e le prouvent, avec une longueur affichée à 4,17 mètres pour 1,52 mètre de haut et 1,98 mètre de large.

La socle   technique de cette Fiat 600e est très différent de la 500. Ce  modèle reprend la plate-forme ECMP2 de Stellantis, déjà utilisée par les Jeep Avenger, DS 3 E-Tense et Opel Mokka Electric. La batterie et le moteur électrique sont donc identiques, avec une puissance de 156 ch et une capacité de 54 kWh. À son lancement, en

octobre 2023, mais la 600e est disponible en électrique seulement, elle accueillera un moteur à essence en 2024. Il s’agira du nouveau bloc 1.2 micro-hybride de 48 V et 100 ch. La nouvelle 600e propose trois modes de conduite, eco, normal et sport a sélectionner  en fonction du style de conduite souhaité. Nous aurons l’occasion de tester ces différents modes lors de notre essai routier.

La 600e se décline en deux finitions, à savoir (RED) et Prima. En s’installant à bord, on remarque immédiatement une habitabilité optimisée avec ses 5 sièges et 15 litres de volume de rangement intérieur. À l’avant le conducteur ainsi que son passager sont très bien installés dans des sièges confortables et au bon

maintien latéral. Le siège conducteur électrique à 6 positions et sa fonction massage dorsal complètent le dispositif. Les sièges recouverts de cuir synthétique sur la version Prima coiffant la gamme, la version (RED), placée juste en dessous s’habille quant à elle de Seaqual, un matériau fabriqué à base de bouteilles en plastique récupérées dans les océans puis recyclées.  À l’arrière, les passagers sont installés confortablement, avec un espace aux jambes, à la tête et aux coudes très généreux. L’accès à bord est facile et donne à cette 600e une vraie vocation familiale. Le coffre de 360 litres est l’un des plus généreux de la catégorie.

La nouvelle Fiat 600e est plutôt bien équipée en ce qui concerne l’info-divertissement. Le SUV urbain s’aligne sur  des modèles plus haut de gamme. Le premier niveau (RED)  offre une dotation complète offrant un bon

rapport qualité prix et  sécurité. Parmi les équipements livrés de série, citons entre autres le freinage autonome d’urgence, la reconnaissance des panneaux de signalisation l’alerte de franchissement de ligne, ou encore le régulateur et limiteur de vitesse. La Prima, à peine plus chère offre une finition et un équipement plus haut de gamme dont la commutation automatique entre les feux de route et de croisement ainsi que le détecteur d’angles morts et les radars de stationnements à l’avant et à l’arrière, la caméra de recul à 180 degrés,  le chargeur sans fil pour smart phone,  elle est également livrée de série avec la conduite semi-autonome de niveau 2.

Nous avons pris le volant du modèle haut de gamme 600e Prima, sur un parcours varié en Alsace. Nous avons apprécié  en premier lieu son confort, plutôt agréable même sur les routes  au mauvais revêtement. L’amortissement est bien géré avec des suspensions qui ne se révèlent pas trop souples  mais suffisamment fermes pour le plaisir de conduite. Le freinage est efficace même si la consistance de la pédale peut être inconstante.  Le comportement de la 600e est homogène et permet une conduite souple dans un confort agréable. En mode sport on apprécie les 156 ch qui sont bien présents, mais revers de la médaille, l’autonomie s’en ressent. En mode eco la 600e reste agréable à conduire notamment en ville où ce mode est a préconiser.Le constructeur annonce 400 km d’autonomie en cycle WLTP

La politique tarifaire de Fiat est plutôt agressive, 28 900 € pour la (RED), et 35 900 € pour la Prima après bonus, il n’y aucune option disponible, juste la couleur à choisir.

Avec sa bouille craquante, son équipement très complet et son prix attractif, notamment la version (RED), le nouvelle Fait 600e devrait se faire une bonne place sur ce segment B très convoité.

PHOTOS MICHEL MORILLON

Volkswagen ID7 : L’électrique version premium !

Volkswagen ID7 : L’électrique version premium !

Avec sa nouvelle berline routière ID7, Volkswagen revient sur le devant de la scène sur le segment premium mais cette fois avec le 6 ème modèle de la gamme ID.

Tesla a un concurrent de poids face à son Model S !

Son prix est à la hauteur de ses ambitions de présenter à sa clientèle haut de gamme ou entreprise un modèle d’exception : à partir de 62 650 € en version Style et il faut compter 67 500€ dans sa version Style Exclusive, soit équipée de nombreux équipements. A ce prix-là, les clients sont en droit d’être exigeants. Nous verrons dans la conclusion si cet objectif est atteint par la marque allemande !

Pour information, la version que nous avons essayée, en finition Style Exclusive, avec ses nombreuses options, s’affiche quand même à 74 000 € !

Dotée d’une autonomie pouvant aller jusqu’à 700 km (en cycle WLTP), d’une motorisation particulièrement puissante, d’un habitacle spacieux et de technologies novatrices, l’ID.7 s’affirme comme une berline routière particulièrement confortable et permet à la gamme ID. de conquérir un nouveau segment. Le nouveau modèle de près de cinq mètres de long se distingue par ailleurs par son concept de commande revisité répondant aux attentes des clients et par la qualité exceptionnelle de ses matériaux et de son design.

Avec ses 4.96 m de long, un design dicté par cette recherche d’efficience avec un aérodynamisme particulièrement travaillé (Cx de 0,23), ses équipements dignes de son haut de gamme affiché, l’ID7 est le vaisseau amiral de la marque prenant la suite de l’Arteon en 2017, voir plus ancienne encore la fameuse (et moche !) Phaéton, éphémère premium des années 2000 où, seule sa motorisation monstrueuse W12 de 6 litres et de 420 ch valait le détour.

PARLONS TECHNIQUE !

Comme vous le savez je ne suis pas un digne défenseur des voitures électriques, version Tout électrique comme veut l’imposer l’Europe dès 2035 !

Mais le marché s’organise, les constructeurs sont tous sur le créneau et nous ne pouvons pas passer à côté dorénavant des modèles électriques, qui plus est d’un constructeur que l’on apprécie et qui fait globalement de belles autos, thermiques, sportives, sur de très nombreux segments, de la petite citadine au beau 4×4 en passant par les SUV familiaux, les icones, type Golf…

Premier modèle issu de la plateforme modulaire MEB à être doté d’une toute nouvelle génération de moteurs à haute efficacité, l’ID7 dispose de nombreux équipements faisant appellent aux dernières technologies, avec des systèmes de gestion sont affinés

Régulateur adaptative, valve amortissement améliorée, le système Adaptative châssis control : DCC (en option) enfin (ou presque) la personnalisation du profil de conduite optimisé, avec le système Véhicule Dynamic manager offrant le compromis entre confort et agilité.

PARLONS CONFORT !

Que dire de ce salon roulant, même si tout n’est pas parfait. Mais on se rapproche fortement du très haut de gamme, quitte à aller chatouiller son collègue, Audi.

Une berline confortable et technologique invitant au voyage : nouveau système de suspension et des améliorations significatives au niveau de trains roulants et essieu arrière, et de nombreuses technologies inédites chez Volkswagen telles que l’ID. Software 4.0 et le nouveau système d’infotainment avec écran jusqu’à 15’’, une nouvelle génération de sièges ergoActive Premium massant et thermorégulés, un système de ventilation intelligent ‘Smart Air Vents’ ou encore un nouveau toit panoramique en verre

avec contrôle électronique de luminosité (occultation variable) ne constituent que quelques-uns des exemples d’équipements optionnels de l’ID.7

PARLONS ÉQUIPEMENTS

Un nouveau concept d’affichage conducteur avec l’affichage tête haute en réalité augmentée de série afin de compléter le combiné d’instruments ID. Display situé derrière le volant pour éviter les informations redondantes et apporter un confort maximal au conducteur.

La gamme d’équipements optionnels est complétée par un système sonore Harman Kardon de 700 W comprenant 14 enceintes haute définition avec speaker central à l’avant et subwoofer au niveau du coffre, qui offre une expérience sonore incomparable au sein de la nouvelle grande routière Volkswagen.

Au sein de l’ID.7, les systèmes d’assistance comme le système Travel Assist fondé sur l’intelligence en essaim4 sont capables d’assurer la direction latérale et longitudinale de la voiture en cas de besoin. Ces systèmes ont été développés par Volkswagen conjointement avec CARIAD, la société du Groupe Volkswagen en charge des solutions logicielles. Ainsi, à la demande du conducteur, le système Travel Assist5 permet à l’ID.7 d’offrir son assistance pour les changements de voie sur les autoroutes à plusieurs voies à partir de 90 km/h. Le conducteur n’a plus qu’à surveiller le processus, ce qui lui simplifie considérablement la conduite. C’est aussi le cas pour les manœuvres de stationnement : la Volkswagen entièrement électrique soulage le conducteur de la même manière en assurant un certain nombre de manœuvres en toute autonomie. Ainsi, le stationnement avec fonction mémoire5 sur une distance pouvant aller jusqu’à 50 mètres permet au conducteur de surveiller la manœuvre en restant dans le véhicule ou même en dehors du véhicule, à partir de l’application pour smartphone dédiée6.

ET LE “MOTEUR“ ?

Développant 210 kW / 286 ch, ce sont les moteurs les plus puissants et au couple le plus élevé de toute la gamme de modèles Volkswagen ID. Cette version équipe l’ID.7 quelle que soit la taille de la batterie choisie. Baptisé en interne APP550, ce moteur a été développé conjointement avec Volkswagen Group Components à Cassel, en Allemagne, où il est aussi produit.

La principale amélioration apportée au nouveau moteur électrique concerne la consommation d’énergie.

Un nouveau groupe motopropulseur de 286 ch avec une gestion thermique optimisée afin d’améliorer l’efficience et l’autonomie du véhicule : jusqu’à 620 km. Et un couple de 545 Nm !

A venir début 2024 : une grosse batterie qui devrait permettre à l’ID7 de parcourir près de 700 km sans rechange.

PARLONS CONDUITE

Au volant on prend vite le gabarit de la voiture, pourtant volumineuse.

Confort des sièges annoncé, énorme écran central qui regroupe toutes les fonctionnalités, que l’on peut retrouver sur l’écran central, et en partie sur l’écran vision tête haute projeté sur le pare-brise.

Petit étonnement concernant le freinage qui semble parfois un peu mou et long à se déclencher. 

Également étonnant la lecture des signalisations que la voiture interprète bizarrement : exemple sur autoroute, à 130 km/h, au passage d’un pont qui enjambe la voie rapide, le système connecte la vitesse de la route traversée et du coup la voiture ralentit bizarrement pour rouler subitement à… 90 km/h…

Rien à dire par contre sur la tenue de route, l’inscription en virage et la tenue de cap.

Tous les commodos sont à porter de doigts, y compris le sélecteur de la boite de vitesse automatique, placé à droite du volant : pratique ! On l’a déjà vu chez Volkswagen et c’est une bonne idée de le conserver !

Une voiture comme nous pourrions dire, bien née. Une marque qui poursuit sa marche en avant vers l’électrique afin d’être prêt à proposer une gamme complète, déjà bien fournie.

Le prix reste néanmoins un handicap, même si nous sommes sur des véhicules haut de gamme mais la conjoncture actuelle peut aussi ralentir les ventes de ces belles voitures qui seront principalement acquises par des sociétés en LLD ou LOA, un accès facilité à l’achat de voitures neuves.

Merci encore à Volkswagen pour nous convier à ces présentations qui nous permettent de se faire une idée précise de l’évolution actuelle de l’automobile vers cette logique européenne du tout électrique d’ici 2025.

François VINCENT

GAMME CITROËN ELECTRIFIEE, TOUJOURS PLUS DE PUISSANCE.

GAMME CITROËN ELECTRIFIEE, TOUJOURS PLUS DE PUISSANCE.

Pour rester compétitif sur le marché de du véhicule  électrifié, le constructeur Citroën monte en puissance. C’est dans la campagne au nord de Paris que le constructeur présente à la presse les nouveautés dans ce domaine.

Sur un format d’essai assez souple, nous pouvons essayer plusieurs véhicules sur des parcours réduits mais assez variés pour tester les capacités des différents modèles. Nous disposons d’une large gamme  des best-sellers de la marque : nouveau C5 Aircross Hybride 136, nouveau moteur 115 kW et batterie de 54 kWh sur ë-C4 et ë-C4 X, nouvelle motorisation Hybride Rechargeable 180 sur C5 Aircross et C5 X.

Je démarre cet essai par le C5 Aircross Hybride 136 ë-DCS6 , peu de changement sur l’allure général du véhicule mais c’est sur le mode électrique que les évolutions apparaissent. Citroën franchit une étape supplémentaire pour

faciliter l’accès à la mobilité électrique en introduisant la nouvelle technologie Hybride 48V. Cette technologie d’hybridation associe un moteur essence PureTech 136 ch (100 kW) de nouvelle génération, une nouvelle boîte de vitesses électrifiée ë-DCS6 à double embrayage intégrant un moteur électrique ë-Motor de 21 kW, ainsi qu’une batterie 48V qui se recharge automatiquement pendant certaines phases de roulage. Cette version C5 Aircross Hybride 136 émet 129g de CO2/km selon le cycle WLTP mixte, soit 15% de CO2 de moins que la version essence non électrifiée équivalente.

Au volant, cette technologie est efficace, simple et fluide dans son utilisation, elle permet de rouler en mode électrique sans les contraintes de rechargement. La batterie de 48V se recharge en phases de freinage et de décélération et permet de rouler à faible vitesse en mode électrique notamment en ville, de rouler dans les zones à faibles émissions, de réaliser des économies de carburant et de réduire les émissions de CO2. Nous avons constaté une consommation de 5,9 l sur un parcours plutôt urbain.
Le passage du mode électrique au mode thermique est fluide mais le PureTech 136 ch se réveille assez bruyamment à bas régime. Une fois lancée, cette motorisation est agréable, souple et silencieuse. La nouvelle boîte de vitesses électrifiée ë-DCS6 à double embrayage est bien étagée mais manque de fluidité sur les rapports 1 et 2 en montée et en descente de régime. C5 Aircross Hybride 136 ë-DCS6 offre néanmoins une qualité de conduite et un confort exemplaire. 

Il conserve tous les éléments de confort à bord caractéristiques de C5 Aircross (suspensions et sièges Citroën Advanced Comfort®, espace et modularité), les mêmes personnalisations et les mêmes niveaux de finition (Feel, Feel Pack, Shine et Shine Pack). Une autre nouveauté apparaît sur C5 Aircross Hybride 136 ë-DCS6. Son combiné numérique évolue, Il permet d’avoir directement, sans détourner son regard, toutes les informations spécifiques à la conduite en hybride :  tachymètre en bleu pour indiquer le roulage en 100% électrique, flux de fonctionnement du moteur hybride, Niveau de charge de la batterie, Mode de conduite via un indicateur de puissance (Charge, Eco, Power), pourcentage de distance parcourue en électrique en instantané et en moyenne. Les tarifs démarrent à 37800€ jusqu’à 41650€ selon la finition.

Mon deuxième essai se consacre à un véhicule 100% électrique, la Citroën ë-C4 et sa nouvelle motorisation. Cette nouvelle application, associant une nouvelle motorisation électrique de 115 kW (156 ch) à une nouvelle batterie à densité énergétique améliorée de 54 kWh, offre une autonomie étendue jusqu’à 420 km en cycle WLTP., soir 17% de gain.

Le moteur électrique synchrone hybride (HSM) de 115 kW ou 156 chevaux a remplacé le moteur électrique synchrone à aimants permanents. Il propose 15 kW (20 ch) supplémentaires, tout en affichant une efficience élevée. Ce moteur est capable de produire un couple de 260 Nm disponible instantanément, ce qui assure réactivité immédiate et confort de conduite. La  nouvelle batterie de 54 kWh offre 4 kWh de plus que l’offre électrique actuelle. Compacte et profitant d’une régulation thermique par circulation de liquide et d’une pompe à chaleur de série qui favorisent une charge rapide, elle bénéficie d’une chimie différente répartie dans 102 cellules et 17 modules.

 bord, l’ambiance est feutrée, la position de conduite permet d’accéder à toutes les informations nécessaires à la conduite d’un véhicule électrique. Le compteur numérique simple et complet donne toutes les informations de charge et de consommation pour un confort de conduite optimum L’ë-C4 bénéficie toujours de services programmables à distance via l’application MyCitroën sur smartphone.

Au volant on constate rapidement l’homogénéité de l’ë-C4, son confort et sa tenue de route grâce aux réglages de suspension optimaux, de la souplesse associée à une fermeté dans les appuis et les freinages. Le train avant s’engage bien même dans un terrain sinueux et l’ë-C4 devient presque joueuse notamment en mode sport, mais attention c’est un mode gourmand, autonomie à surveiller !!!!.

Disponible dans un premier temps sur la finition Shine, cette nouvelle proposition vient en complément de la version actuelle de 100 kW (136 ch) d’une autonomie jusqu’à 360 km et participe à la montée en gamme. Ces nouvelles versions sont disponibles à partir de 44 600€ TTC en ë- C4 et 45 300€ en ë-C4 X. Ces modèles bénéficient d’un bonus de 3000€ à 5000€ selon les équipements.


Citroën lance e-ROUTES par Free2move Charge, un planificateur de trajet ultra-performant. Cette nouvelle application leur permet d’aborder de longs voyages en électrique en toute tranquillité.

e-ROUTES s’appuie sur un algorithme de routage puissant, une analyse en temps réel des données du véhicule et un système de navigation connecté permettant une gestion évolutive en temps réel des trajets et de la recharge. e-ROUTES est compatible avec Apple CarPlay/Android Auto.  Déployée à partir d’octobre, l’application est déjà incluse dans le pack CONNECT PLUS, disponible pendant 12 mois sans engagement pour tous les nouveaux acheteurs de ë-C4 et ë-C4 X.

Pour clore cette journée d’essai Citroën, je me plonge dans l’univers loisir avec un petit tour en My Ami Buggy. C’est un petit véhicule 100% électrique qui a une bouille de baroudeur. Au volant c’est une ambiance vacances, intérieur couleur fluo, teinte kaki , toit amovible, accessoires astucieux. Ce petit buggy électrique a tout pour séduire. Voyons son comportement routier. Vitesse maxi 45km/h, c’est un véhicule sans permis et les sensations sont agréables, la tenue de route est stable et le freinage efficace. L’engouement pour notre  My Ami Buggy ne se dément pas. Les 800 exemplaires de My Ami Buggy destinés à la vente en ligne ont été vendus mardi 20 juin sur internet en seulement 10 heures. En France, ce sont 430 My Ami Buggy qui sont partis en un peu plus de 2 heures .

Cette nouvelle version est dotée d’accessoires supplémentaires exclusifs comme les bâches de porte transparentes protégeant ses occupants des intempéries, la sacoche amovible positionnée au centre du volant permettant de ranger les petits objets du quotidien ou encore une enceinte nomade, Bluetooth « Ultimate Ears Boom » pour accompagner les plus beaux moments en musique. De nouveaux cadres de porte et de toit noirs soignent la finition extérieure.

Il faudra débourser de 7 990€ à 10 490€, de Ami à My Ami Buggy en passant par My Ami Cargo.

Michel MORILLON

DACIA JOGGER HYBRID 140,  LE BON COMPROMIS POUR UN VEHICULE FAMILIAL

DACIA JOGGER HYBRID 140, LE BON COMPROMIS POUR UN VEHICULE FAMILIAL

Dacia démarre l’année 2023 avec l’arrivée du premier hybride de son histoire. C’est le Jogger,Hybrid 140, le break familial de la gamme, qui étrenne la motorisation E-Tech 140 déjà connue chez Renault.

Le Jogger connaît un joli succès depuis son lancement en début d’année 2022 puisque Dacia a d’ores et enregistré 94 000 commandes dans le monde. Ce nouveau Jogger Hybrid 140 offre une configuration très complète. Il repose sur la plateforme déjà connue de Clio 5 et il  est capable de transporter jusqu’à sept personnes dans un environnement  confortable et un  équipement moderne.

Ce nouveau Dacia Jogger Hybrid 140 reste  dans la stratégie Dacia : concevoir des voitures simples, équipées de l’essentiel, à un prix inférieur à la concurrence. Le Jogger Hybrid 140 ch répond parfaitement à ce cahier des charges. La voiture est une vraie familiale, qui tient à la fois du ludospace et du break avec sa longueur de 4,54 m. Le design est nettement amélioré. On apprécie son dessin, la face avant bien travaillée ornée d’une belle signature lumineuse. A l’arrière, c’est un plus massif, mais l’ensemble reste esthétiquement moderne et fluide.

Coté équipement, le Jogger Hybrid 140 est richement doté. La planche de bord malgré un plastique dur, donne un aspect de robustesse, complétée par un bel écran couleur central de 8 pouces. Les compteurs à aiguilles sont remplacés par une instrumentation numérique témoignant notamment des flux d’énergies. L’ensemble  est  recouvert d’un élégant tissu gris tout à fait dans l’air du temps. Les équipements  proposés, au minimum en  finition Expression, sont nombreux :  rétroviseurs extérieurs couleur caisse à réglage électrique, barres de toit longitudinales modulables, climatisation manuelle, les vitres arrière teintées, accoudoir central, régulateur de vitesse, essuie-glaces automatiques, vitres arrière électriques, siège conducteur réglable en hauteur, radars de

recul et un système audio compatible smartphone Apple et Android Auto via prise USB.

Dacia propose pour le lancement une  série limitée Extrême, avec un supplément de 1000 €, dotée  de jantes aluminium 16” noires, de rétroviseurs extérieurs assortis, de vitres de custodes entrebâillantes (version 7 places), de tablettes type avion, de la clim automatique, de la caméra de recul, de l’accès mains libres et d’un support smartphone amovible.

Les quelques options proposées restent abordables, 400 € pour le GPS, 200 € pour les sièges chauffants, 300 € pour le pack City comprenant le surveillant d’angles morts et les radars de stationnement avant et 900 € pour l’option sept places. Malgré le passage à l’hybride et la place des batteries, le Jogger Hybrid 140  garde son volume de coffre utile, de 608 à 1 819 litres en version 5 places.

Sous le capot, le Jogger Hybrid 140 hérite de la technologie hybride de Renault utilisée sur les modèles Captur et Arkana, inaugurée voici près de trois ans par la Clio. Il combine un  moteur atmosphérique 4 cylindres 1,6 litre de 94 ch, associé à un moteur électrique de 36 kW (soit 49 ch) et un démarreur/générateur de 15 kW.  Les électrons sont stockés dans une batterie de 1,2 kWh en 230 V. Au final la puissance disponible est de 140 ch. Il offre un démarrage systématique en traction électrique et  un excellent rendement énergétique, notamment grâce à la prestation boîte automatique avec la boîte de vitesses à crabots sans embrayage.

Nous avons pris le volant du nouveau Jogger Hybrid 140 dans la banlieue de Lisbonne sur un terrain mixte. Le démarrage se fait en mode électrique sur quelques centaines de mètres.  La combinaison du freinage régénératif du système de récupération d’énergie de la batterie de 1,2 kWh et de la boîte automatique sans embrayage nous permet de rouler en ville sur le mode électrique jusqu’à 80 % du temps. En sortant des agglomérations, le moteur thermique donne de la voie, la transition entre la traction électrique et le moteur à combustion se fait sans à-coup. C’est fluide, imperceptible au volant. les montées en régime sont laborieuses et l’étagement de la boite à crabots  peut surprendre notamment sur les freinages. L’agrément de conduite constaté en mode électrique est un peu contrarié par ces changements de rapport fréquents, la boîte hésite souvent entre la troisième et la quatrième notamment à vitesse constante sur les grands axes.

Sur un parcours plus sinueux, le Jogger Hybrid 140 se comporte sans défaut. Les suspensions ont  été quelque peu raidies pour maîtriser le poids supplémentaire de ce modèle (180 kg). Les changements d’appuis ne provoquent aucun roulis et les bosses sont bien amorties. Malgré une tendance sous-vireuse, le train avant du Jogger s’engage bien pour négocier les virages serrés et les changements de direction. Le freinage est efficace et endurant. Nous ne sommes pas en présence d’un véhicule à vocation sportive , l’ensemble est homogène pour un usage familial. Nous avons constaté une consommation de 4,7 l en ville et jusqu’à 6,5 l sur le routier.

Le tarif débute  à 24.600 € (+ 900 € en 7 places), soit un surcoût de 5.000 € par rapport au Jogger GPL à dotation identique. Le consommateur aura le choix en fonction de son usage.

Dacia joue la carte d’un véhicule moderne au design agréable, bien équipé et doté d’une boite automatique qui malgré quelques à-coups, notamment à pleine charge, amène du confort et une facilité de conduite. II reste confortable et  offre au choix suffisamment d’espace pour sept personnes ou un coffre géant. Le nouveau Jogger Hybrid 140 est le seul véhicule familial du marché à proposer une motorisation hybride à moins de 25 000 €.

Michel MORILLON

ROAD TRIP EN BMW. Sur la route vers  INSOLARE,  en Camargue 

ROAD TRIP EN BMW. Sur la route vers INSOLARE, en Camargue 

De Frank Stella à Jeff Koons, en passant par Andy Warhol jusqu’aux artistes émergents de la Résidence BMW, depuis 50 ans, l’engagement de BMW Group pour la culture, n’est plus à démontrer. Toutes ces années ont été au service d’un regard artistique nouveau, de l’hybridation des techniques sous toutes ses formes, que ce soit dans le domaine de l’art contemporain, la musique, l’architecture, le design ou encore la photographie dont BMW France est mécène depuis 2003. Une centaine de projets ont pu voir le jour à travers le monde entier.

Le projet INSOLARE est une nouvelle expérimentation, réalisée dans le cadre du programme BMW ART MAKERS est issu de la collaboration entre Eva Nielsen et Marianne Derrien et conçu spécialement pour les Rencontres d’Arles et Paris Photo où il sera montré pour la première fois.

Leur démarche à la fois poétique et scientifique interroge le temps et la sédimentation du paysage urbain et Camarguais. Elles évoquent les mutations de l’environnement qui aboutissent à la disparition de certains paysages urbains, industriels et naturels, où l’empreinte de l’humain est toujours en cause. BMW s’engage également pour les talents féminins en soutenant depuis sa création le Prix de la Photo Madame Figaro Arles.

BMW Group France, mécène des Rencontres d’Arles pour la 14ème année, met à disposition du Festival une flotte de voitures électrifiées BMW pour le transport des invités, des artistes et commissaires d’exposition.

C’est dans le cadre de cette exposition que BMW a réuni quelques journalistes pour associer culture et automobile sur plusieurs lieux d’exposition. Bien sûr, les Rencontres de la Photographies en Arles, mais aussi quelques lieux emblématiques comme le Château Lacoste repère de sculptures géantes d’artistes mondialement

connus. Nous avons à notre disposition une large gamme de véhicules de la gamme BMW. Nous sommes dans le sud, donc rendez-vous avec les cabriolets : BMW 420i 184 ch, BMW Z4 M40i 340 ch, BMW Z4 sDrive20i 197 ch  et BMW 840d xDrive 340 ch  Nous disposons également  d’une partie de la gamme véhicules électrique : BMW i7 xDrive60 544 ch, BMW 750e xDrive 489 ch, BMW i4 eDrive35 286 ch, et le superbe SUV  BMW iX M60 619 ch.

Notre première après-midi d’essai, par une belle journée d’été, m’incite à rouler en cabriolet. Je démarre avec le haut de gamme, BMW 840d xDrive 340 ch. Sur les routes menant à Uzes et les célèbres poteries d’Anduze, la

 

maniabilité de ce cabriolet est étonnante et son moteur 6 cylindres en ligne est un exemple de silence et de souplesse malgré sa motorisation diesel. Clim à fond sur les  sièges et appuis- têtes, je suis bercé par le chant des cigales sur les routes bordées de platanes. Un retour à une époque où les autoroutes n’existaient pas mais avec un véhicule ultra sophistiqué. La journée se termine par l’inauguration de l’exposition « INSOLARE » en présence de l’équipe BMW France, du maire d’Arles Patrick De Carolis et des artistes à l’origine de cette exposition, Eva Nielsen et Marianne Derrien.

Nous profitons de notre deuxième journée d’essai pour consacrer la matinée à découvrir quelques très belles expositions en Arles. Puis nous partons vers la Camargue, du centre historique d’Arles  à la plage de Piémanson, en passant par les marais salants sur les traces d’Eva Nielsen qui a photographié les fragments de paysage qui ont nourri son inspiration pour ce projet « INSOLARE ».

Je choisis le nouveau cabriolet Z4 sDrive20i  pour découvrir la Camargue sauvage, de la réserve du Viguerat, en

passant par l’Etang du Fangassier jusqu’à la Plage de Pémanson. Ce nouveau Z4 est une invitation à la balade, motorisation 2 litres de197ch souple et dynamique. Ce Z4 est joueur avec une tenue de route exemplaire grâce au châssis performant et aux suspensions adaptées.

La nouvelle planche de bord numérique et son écran incurvé offre une lisibilité parfaire. La console centrale est munie de la traditionnelle molette chère à BMW qui permet d’afficher toutes les informations sans quitter la route des yeux. 

Je consacre la dernière journée de ce road trip à l’essai de la gamme BMW électrique que nous avons à notre disposition. Direction les Alpilles pour rejoindre le Château Lacoste. Je démarre avec le modèle central de la gamme électrique  BMW i4 eDrive35. C’est une berline de 286 ch et 400 Nm sont ici envoyés aux roues arrière, ce qui donne un respectable 6 s sur l’exercice du 0 à 100 km/h et des reprises grisantes. Ce i4 se comporte comme une voiture de sport, sur les routes escarpées et bosselées du Lubéron et des Alpilles le i4 offre une qualité de conduite incomparable, couple énorme, suspensions actives et efficaces sur les changements d’adhérence. Le châssis répond à toutes les sollicitations, le freinage est puissant et constant dans un confort fidèle à BMW. L’environnement intérieur est sophistiqué et offre une très bonne position de conduite associée à une double dalle numérique incurvée (12,3 pouces pour l’instrumentation et 14,9 pouces pour l’écran central) qui héberge un système multimédia à la fois esthétique, ergonomique et fluide  et offre toutes les information

nécessaire au conducteur. Le Château Lacoste nous accueil avec ses sculptures géantes des plus grands designers du monde, Franck Gehry, Tadao Ando, Louise Bourgeois et sa célèbre araignée et une toute nouvelle oeuvre de Prune Nourry qui a imaginé une sculpture monumentale, la femme enceinte allongée. Nous restons dans l’art avec une exposition d’Andy Warhol « Voyage avec Warhol ».

Notre road trip touche à sa fin et pour le retour sur Avignon, je me devais d’essayer le monstre de la gamme électrique, le SUV BMW iX M60 619 ch. Avec son look épuré, il respire la puissance et l’élégance. Au volant c’est un ovni, les accélérations sont démoniaques, malgré son poids et son envergure, le comportement est précis et le 

contrôle optimal grâce à la suspension M adaptative avec amortisseurs à régulation électronique et suspension pneumatique M adaptative sur les 2 essieux. La tenue de route est irréprochable  et le freinage efficace même sur des portions sinueuses. A l’intérieur le confort est total dans une ambiance silencieuse, le BMW Live Cockpit Pro avec sa dalle futuriste numérique incurvée (12,3 pouces pour l’instrumentation et 14,9 pouces

pour l’écran central) s’intègre parfaitement et  donne toutes les informations nécessaires grâce à la molette magique BMW.

Ce road-trip à travers la Camargue et les Alpilles nous a permis d’essayer un large choix de la gamme BMW, du cabriolet qui invite à la balade au puissant véhicule électrique, star des prochaines années, dans une ambiance mêlant l’art, la culture et l’automobile, un cocktail qui fonctionne bien. Bravo aux artistes et plus particulièrement à Eva Nielsen et Marianne Derrien pour l’exposition « INSOLARE » que l’on retrouvera à Paris Photo en novembre.

MICHEL MORILLON

VOLKSWAGEN ID3, déjà la phase 2 !

VOLKSWAGEN ID3, déjà la phase 2 !

VOLKSWAGEN ID 3 : L’ÉLECTRIQUE NOUVELLE GÉNÉRATION :

Nous vous avons présenté l’ID7, la routière made in Volkswagen il y a quelques semaines (et nous sommes impatient de l’essayer !), puis l’ID5, le SUV coupé de la famille ID, sans oublier mon coup de cœur, l’ID Buzz, maintenant disponible en version longue, aujourd’hui, la belle ID4, le SUV familial par excellence, il s’agit de replonger dans la gamme ID, avec, déjà, la seconde génération de l’ID.3. Une histoire à succès qui se poursuit, s’étoffe et fort du retour client, la marque allemande a su apporter à cette compacte les améliorations nécessaires en fonction de leur besoin, tant au niveau du design, de la qualité intérieure, des équipements de série et de ses technologies.

Depuis le lancement de la famille ID., plus de 600 000 modèles ID. basés sur la plateforme MEB on été livrés dans le monde entier. La gamme Volkswagen comprend désormais six modèles ID. En plus de la production à Zwickau et à Dresde, la nouvelle ID.3 sera également produite dans l’usine mère de Wolfsburg à partir de l’automne 2023.

Toujours disponibles en 2 tailles de batterie, 58 kWh dont les performances affichent jusqu’à 427 km d’autonomie et 77 kWh qui, quant à elle, permet une autonomie jusqu’à 557 km

Pour autant, si la taille ne change pas, la puissance de charge quant à elle est nettement améliorée sur la batterie 77 kWh passant de 135 à 170 kW. Concernant la batterie 58 kWh, la recharge augment aussi jusqu’à 120 kW.

 

La gamme de l’ID3 a été entièrement revue, simplifiée, et améliorée notamment sur le plan des équipements de série, dès le premier niveau de finition.

On retrouve ainsi quelques équipements souvent constatés sur des modèles de gamme plus élevée, Volkswagen cherchant ainsi à convaincre sa clientèle, avec des arguments solides, face à une concurrence de plus en plus vindicative sur ce segment notamment pour aller chercher le leadership.

Entre l’écran central de 12 pouces, le régulateur de vitesse adaptatif avec assistance au maintien de voie Lane Assist, la caméra de recul, Intelligent Park Assist, la climatisation, les jantes alliages en 18“, l’App Connect sans fil avec Apple CarPlay et AndroidAuto, et la commande vocale, nul doute que cette dernière génération ID3 a des arguments pour convaincre une clientèle de plus en plus sensible à la notion écologique et énergétique.

                 

VOLKSWAGEN, PRÉCURSEUR DE L’ÉLECTRIQUE AVEC SON ID3 ?

A force de faire du bourrage de crâne à longueur de journée, nos édiles parviennent, soit à culpabiliser les acheteurs de véhicules neufs, soit à les forcer à changer de mode de mobilité par les augmentations de taxes d’un côté et les avantages offerts pour l’achat de tels véhicules, arguments qui font mouches, à voir l’évolution des ventes de véhicules électriques en France depuis ces dernières années.

Quoi qu’il en soit, cette politique profite fortement aux marques qui ont su prendre tôt le virage de l’électrique, proposée des gammes à la fois esthétiques et performantes, générée une politique globale entre fabrication, intégration et recyclage des batteries en fin de vie. Et la marque allemande a su devenir en quelques années un acteur incontournable du secteur.

QUOI DE NEUF SUR CETTE ID3 ?

Deux ans et demi après le lancement de l’ID3 première génération, ce modèle iconique revient fort d’une mise à niveau importante.

Nouveau design, des matériaux de qualité supérieure, des équipements et des systèmes d’assistance dernière génération, l’ID3 offre de nombreuses évolutions.

A commencer par son aspect extérieur affiné qui reçoit un certain nombre de modifications, afin d’améliorer son aérodynamisme. Des ouvertures d’air de refroidissement optimisées et ses larges surfaces peintes change l’apparence de la face avant. Nous, nous aimions bien la face avant de la première génération, mais tout évolue… À l’arrière, les nouveaux blocs de feux arrière, en deux parties et de couleur rouge, se distinguent par leur brillance. La partie des feux arrière qui se trouve intégrée à la carrosserie au niveau du coffre s’allume également désormais Enfin, l’adoption de 3 nouvelles couleurs, plus dynamiques.

      

Côté intérieur, le design est plus qualitatif, plus séduisant, plus moderne, entre la console redessinée, les sièges avant au design revu pour un meilleur confort et l’utilisation de matériaux de haute qualité et exempts de matières animales, un matériau baptisé Artvelours Eco, qui contient 71% de matières recyclées. Une marque qui reflète la stratégie de Volkswagen d’adopter sur l’ensemble de la famille ID. 100% électrique

              

                                                   

Côté connectique ?

Volkswagen annonce une recharge est plus facile et plus pratique avec la nouvelleID.3. grâce à des fonctions de série telles que Plug & Charge. Le principe : le véhicule s’authentifie et lance le processus de recharge automatiquement lorsque le câble de recharge est branché à une borne- et le Planificateur d’itinéraire intelligent pour véhicules électriques.

Rappelons que le principal problème ressenti par les conducteurs quant à l’utilisation des véhicules électriques consiste en sa durée de charge et son autonomie souvent réduite par rapport à celle annoncée par les constructeurs. Et les réseaux sociaux font souvent le buzz sur les pannes, les bornes défectueuses, qui empêchent les conducteurs d’aborder l’électrique sereinement.

Volkswagen peut-il gommer ces inconvénients ? La marque a du coup travaillé sur ce problème ! Sur les longs trajets, le planificateur d’itinéraire pour véhicules électriques calcule les arrêts de charge afin d’atteindre la destination le plus rapidement possible, en se basant sur les informations et les prévisions de trafic actuelles ainsi que sur le niveau de charge de la batterie. Les arrêts de recharge sont évalués de manière dynamique en fonction de la puissance des différentes stations de recharge. Cela signifie que la fonction de planification d’itinéraire peut suggérer deux courtes opérations de recharge à forte puissance au lieu d’une seule longue étape de recharge à faible puissance. Le système peut en plus détecter les stations de recharge qui sont occupées (ou défectueuses) et ne les propose pas en premier lieu. Tout cela grâce à la la dernière génération de logiciels qui améliore les performances du système et est capable de recevoir des mises à jour à distance, dites «over-the-air»..

L’écran compact du conducteur de 5,3 pouces, est commandé par le volant multifonction. Le centre du tableau de bord accueille quant à lui l’écran tactile de 12 pouces, désormais de série, qui permet de gérer le système de navigation, les fonctions téléphoniques, les médias, les systèmes d’assistance et les réglages du véhicule.

Systèmes d’assistance de dernière génération.

Plusieurs systèmes d’assistance de dernière génération sont disponibles sur la voiture. Le Travel Assist avec échange de données, proposé en option, est désormais disponible sur l’ID.3. En combinaison avec le régulateur de vitesse adaptatif (ACC) pour le contrôle longitudinal du véhicule de 0 km/h jusqu’à la vitesse maximale et le Lane Assist pour le contrôle latéral, le Travel Assist utilise ces deux systèmes éprouvés qui sont entièrement intégrés l’un à l’autre dans la nouvelle ID.3.

Une gamme simplifiée…

Volkswagen a voulu simplifier la gamme et c’est une excellente chose. Du coup, nous retrouvons 2 modèles, la Pro Performance, avec son moteur 58 kWh et la Pro S et son moteur 77 kWh, et 3 finitions, l’accès à la gamme avec cette version Life Plus, uniquement disponible sur la version 58 kWh, le cœur de gamme avec la Style, enfin la Style Exclusive qui coiffe la gamme.

Au volant.

Rien à dire au volant. L’impression de conduite est identique à celle d’un véhicule thermique, le bruit en moins (c’est pourtant ça qu’on aimait bien avec les vrais moteurs…) ! A l’aise sur n’importe quelle route, sur n’importe quel revêtement, grâce à une direction précise, un amortissement efficace, une tenue de route parfaite, comme les grandes… les thermiques quoi… Enfin pas toutes non plus… !

La souplesse d’utilisation, le rayon de braquage impressionnant, le volume intérieur, le confort et la facilité d’utilisation de tous les équipements et tous les systèmes, ludiques et accessibles sont un plus pour apprécier la douceur de conduite de cette voiture.

Vous allez voir, petit à petit on va se laisser convaincre par l’électrique avec de tels modèles.

Déjà que mon cœur avait “presque“ chaviré pour l’ID Buzz…

Les prix :

Avec cette seconde génération, il n’y a pas que le design qui évolue… les tarifs aussi. Sauf pour le modèle d’entrée de gamme, qui, étonnamment voit son prix diminué de 4620 euros. En résumé l’ID3 est disponible dès 42 990 € ou 279 € par mois. Toutes les versions 58 kWh sont éligible au bonus de 5 000 €, Comme l’ID.3 Pro S en finition Style également avec son offre de location LOA à partir de 399 € par mois.

Côté consommation…

Selon le modèle, la consommation évolue et l’autonomie aussi. Ainsi, ID.3 Pro affiche une consommation électrique (cycle mixte) entre 16,0 et 15,3 kWh/100 km. L’ID.3 Pro S quant à elle une consommation électrique (cycle mixte) de 15,7 kWh/100 km