par autofocus | Mai 7, 2014 | REPORTAGES
Tout le monde sait qu’utiliser son téléphone pendant la conduite est dangereux et interdit. Considérée comme une distraction au volant, c’est une cause majeure d’accident de la route, encore trop largement méconnue.
Des études américaines récentes évaluent de 20 à 25 % la responsabilité de l’utilisation de son téléphone portable au volant dans la survenance des accidents de la route. En pratique, c’est surtout la rédaction des SMS et la navigation sur internet qui multiplient par 23 le risque d’accident ! A titre de comparaison, conduire avec un taux d’alcool de 0,5 g/l multiplie le risque d’accident par 2 et à 0,8 g/l, le risque est multiplié par 10.
Malgré ce que l’on puisse penser, le contrôle de l’utilisation du portable au volant est très difficile pour les forces de l’ordre. Partant de ce constat, l’Automobile Club préconise des campagnes d’information massives, notamment à destination des jeunes conducteurs qui sont les plus impliqués dans ce genre de pratique. Elle recommande également la généralisation de l’utilisation des systèmes mains libres évolués, permettant de connecter le smartphone au système audio du véhicule ou de traduire SMS et mails en mode vocal, afin de conserver les mains sur le volant. C’est par exemple le cas du système FORD SYNC qui énonce les SMS reçus.
L’ACA (Automobile Club Association) souhaite également imposer une formation pratique spécifique à ce risque majeur lors des rendez-vous post permis évoqués récemment par les pouvoirs publics.
Récemment, une vidéo belge a fait le buzz. Une caméra, cachée dans un véhicule d’auto-école, filmait des candidats forcés d’envoyer un texto en conduisant, pour valider une nouvelle épreuve du permis de conduire. Incapables de faire les deux en même temps, les candidats reconnaissaient volontiers la dangerosité de cette fausse évaluation.
par autofocus | Mai 7, 2014 | REPORTAGES
Aujourd’hui, en France, le délai moyen de passage du permis entre deux présentations est de près de quatre mois (80 à 160 jours). C’est plus du double que le délai dans les autres pays d’Europe qui est d’un mois et demi. En plus du coût financier (la démotivation et le chômage (pas de permis, pas de travail) font désormais partie du lot quotidien des candidats au permis de conduire en France.
Seulement 43 % du temps des inspecteurs est consacré aux examens voiture. En France, c’est l’Etat qui organise l’emploi du temps des Inspecteurs du permis de conduire et de la sécurité routière (IPCSR) à qui sont confiées d’innombrables missions autres que celle de faire passer des examens.
Le système d’attribution des places d’examen est géré par une direction centralisée (DSCR). Or chaque département est autonome dans la gestion des missions des inspecteurs, ce qui entraine des inégalités territoriales injustifiées.
La rédaction d’un rapport rappelant les mesures d’urgence sera remis dans les prochains jours. Il propose des mesures structurelles visant un permis plus progressif. Ce permis, bien que novateur en terme de sécurité routière et déjà expérimenté dans d’autres pays européens, ne sera pas efficace si le problème de base des délais d’attente n’est pas réglé.
C’est pourquoi l’Union des Professionnels de l’Apprentissage de la conduite exige que l’Etat assume ses responsabilités et annonce un train de mesures visant à réduire réellement et à très court terme les délais de présentation aux épreuves.
par autofocus | Avr 14, 2014 | REPORTAGES
Les désordres actuels de la météo, a priori difficiles à prévoir, provoquent des dégâts considérables. La grêle par exemple, soudaine et brutale, est responsable de dommages énormes sur les parcs automobiles privés et professionnels.
Sur le marché des opérations menées par des spécialistes, KHS (Know How Systems, holding européenne et mondiale), capable d’intervenir dans le monde entier, est devenue en quelques années leader sur le marché du débosselage sans peinture.
Rappelons que pour réparer une voiture qui a subi les dommages de la grêle? plusieurs solutions existent. La réparation avec peinture qui consiste en l’agrandissement de la bosse, du redressement de la surface, du ré-agréage, du ponçage puis de la peinture. Une technique longue et coûteuse qui va en plus faire perdre de la valeur au véhicule. La technique, qui va dénaturer le moins le véhicule et est opérationnelle depuis une quarantaine d’années est le débosselage sans peinture. Cela requiert un savoir-faire technique très important, et s’avère plus efficace en termes de résultats.
KH possède sa filiale française, implantée à Valence (Drôme) et dispose d’une organisation unique, aujourd’hui capable de faire travailler 300 personnes en même temps en Europe -500 dans le monde entier. Elle s’adresse à tous les professionnels de l’automobile : constructeurs, assureurs, experts, …
Les techniciens de KHS sont tous très expérimentés (+ de 10 ans pour tous) avec une maîtrise parfaite de la réparation sans peinture.
par autofocus | Avr 8, 2014 | EN BREF
Écologique, ce produit préventif anti-crevaison et anti sous-gonflage permet de réaliser des économies tout en augmentant la durée de vie des pneus. Spécialement conçu pour tous les véhicules roulant, et injecté à l’aide d’une pompe, AEROPNEU est fabriqué à base d’eau et de particules de caoutchouc. Il se diffuse harmonieusement sur la totalité de la bande de roulement interne du pneu, et dispose d’une durée de vie de 5 années. Ainsi, lorsque qu’un objet perfore le pneumatique, AEROPNEU pénètre le trou créé grâce à la pression interne de l’air. Il forme ainsi un joint caoutchouc permanent et solide. La réparation est instantanée et définitive.
par autofocus | Mar 31, 2014 | REPORTAGES
Location automobile entre particuliers
A l’heure où nous vivons une période de crise et où il faut penser à rogner sur tous les budgets, la fronde s’organise. Et, à ce petit jeu-là, les automobilistes ne sont pas les derniers à avoir de bonnes idées, notamment en termes d’économie collaborative.
Après le co-voiturage qui s’est désormais installé comme une habitude de consommation de nos trajets pour nombre d’entre nous, il existe depuis peu un nouveau phénomène : la location entre particuliers. Ici, pas question de louer son appartement, mais plutôt sa voiture. Le concept est né d’un constat simple : posséder une voiture coûte de plus en plus cher et pourtant nos rues sont remplies de voitures inutilisées. Elles restent stationnées 95% du temps, dont 73% au domicile et 22% sur le lieu de travail. Alors pourquoi ne pas les partager ? Partant de ce fait, un site internet, drivy.com, a vu le jour et compte à l’heure actuelle plus de 200 000 membres et 14 000 voitures. On peut légitimement se poser la question de l’assurance : pas de panique, la société a souscrit auprès d’Allianz une assurance spécialement conçue pour la location de voitures entre particuliers. En cas de vol ou de dommage, c’est l’assurance de Drivy qui entre en jeu, ce qui permet au propriétaire d’être intégralement couvert et de ne pas risquer de malus !
Pour effectuer sa réservation, il suffit de s’inscrire sur le site www.drivy.com ou de s’y connecter via l’application smartphone. L’utilisateur peut ainsi trouver les voitures disponibles les plus proches de chez lui, en connaissant le tarif appliqué par le propriétaire et les dates de disponibilité.
